Tu dois ressentir la frustration
D'un esprit en proie à tant de tentations
Et apparaît sur ta route, une vie de manque totalement dénuée de foi
Ressent un enivrante exaltation
Quand sur ton corps s'opèrent de nouvelles créations
Et cette profonde joie dont tu as besoin est retreinte
par la pensée d'un seul homme
Es-tu à jamais, l'offre manquante d'une vie passive
Es-tu à jamais, pâle et considéré comme un rejet du temps
Oh grands moments de courage !
Mais en vérité ils ne t'accorderont aucune intention
Réduit, induit, incapable et éffrayé
Peux-tu ressentir le rejet
Et ce manque total de motivation
Et ce profonde joie dont tu as besoin est restreinte et différée
Es-tu à jamais, l'offre manquante d'une vie passive
Es-tu à jamais, pâle et considéré comme un rejet du temps
Fixe, ébahi le sombre pressentiment de ces murs
M'en détournant le regard lointain
La peur enfin me hante
Durant mes nuits de démences
Démence, démence !
Depuis que la vie n'est que déchirements
Le long de ces enceintes guidant nos routes
Dans ce parcours de tourmente
J'irai jusqu'au bout
La vérité, la vérité, en vérité... La vérité me hante
Troublant mon sommeil... Et soudain l'éveil
D'un esprit en proie à tant de tentations
Et apparaît sur ta route, une vie de manque totalement dénuée de foi
Ressent un enivrante exaltation
Quand sur ton corps s'opèrent de nouvelles créations
Et cette profonde joie dont tu as besoin est retreinte
par la pensée d'un seul homme
Es-tu à jamais, l'offre manquante d'une vie passive
Es-tu à jamais, pâle et considéré comme un rejet du temps
Oh grands moments de courage !
Mais en vérité ils ne t'accorderont aucune intention
Réduit, induit, incapable et éffrayé
Peux-tu ressentir le rejet
Et ce manque total de motivation
Et ce profonde joie dont tu as besoin est restreinte et différée
Es-tu à jamais, l'offre manquante d'une vie passive
Es-tu à jamais, pâle et considéré comme un rejet du temps
Fixe, ébahi le sombre pressentiment de ces murs
M'en détournant le regard lointain
La peur enfin me hante
Durant mes nuits de démences
Démence, démence !
Depuis que la vie n'est que déchirements
Le long de ces enceintes guidant nos routes
Dans ce parcours de tourmente
J'irai jusqu'au bout
La vérité, la vérité, en vérité... La vérité me hante
Troublant mon sommeil... Et soudain l'éveil