Ma mie de grâce ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui de leur bonheur ont payé
Ce sacrilège.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
Laissons le champ libre à l'oiseau
Nous serons tous les deux priso-
-nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les coeurs aux queues
Des casseroles.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite elle a perdu
Son goût nature.
De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
À la dame de mes pensées
Toujours je pense
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui de leur bonheur ont payé
Ce sacrilège.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
Laissons le champ libre à l'oiseau
Nous serons tous les deux priso-
-nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les coeurs aux queues
Des casseroles.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite elle a perdu
Son goût nature.
De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
À la dame de mes pensées
Toujours je pense
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin.