Contraint à subsister, pour ne pas faire couler les larmes
Des mémoires d'instants passés, d'attachements encore trop présents
Je marche, et ouvre les yeux sur le bitume humide
Ebahi par le froid de ce manque si pesant
Sans même y croire
Je laisse trainer mon regard usé sur de pales lueurs
Je cherche, sans plus y croire
Les restes d'un oiseau blessé
Je cherche, sans plus y croire
Les restes d'une vie brisée
J'ai essayé mille fois d'y croire
De prendre la vie comme une journée livide
J'ai bien tenté dans mes déboires de tendre ma main vers une main timide
Je cherche une lueur, je cherche mon bonheur
Je ne trouve que ce miroir
J'ai essayé mille fois d'y croire
De prendre la vie comme une journée livide
J'ai bien tenté dans mes déboires de tendre ma main vers une main timide
Je cherche une lueur, je cherche mon bonheur
Je ne trouve que ce miroir
je n'y trouve que mon malheur
J'ai enfin décidé de me laisser tomber dans les bras de ces draps noirs
Plus qu'un pas décidé pour voler
Oublier cette maudite histoire
Des mémoires d'instants passés, d'attachements encore trop présents
Je marche, et ouvre les yeux sur le bitume humide
Ebahi par le froid de ce manque si pesant
Sans même y croire
Je laisse trainer mon regard usé sur de pales lueurs
Je cherche, sans plus y croire
Les restes d'un oiseau blessé
Je cherche, sans plus y croire
Les restes d'une vie brisée
J'ai essayé mille fois d'y croire
De prendre la vie comme une journée livide
J'ai bien tenté dans mes déboires de tendre ma main vers une main timide
Je cherche une lueur, je cherche mon bonheur
Je ne trouve que ce miroir
J'ai essayé mille fois d'y croire
De prendre la vie comme une journée livide
J'ai bien tenté dans mes déboires de tendre ma main vers une main timide
Je cherche une lueur, je cherche mon bonheur
Je ne trouve que ce miroir
je n'y trouve que mon malheur
J'ai enfin décidé de me laisser tomber dans les bras de ces draps noirs
Plus qu'un pas décidé pour voler
Oublier cette maudite histoire