Je passe mon temps à chercher
À découvrir les autres sans jamais toucher l'autre
À me blesser contre le vide qui m'entoure
Seul face à mon miroir, dans les draps de ces jours absents
Je marche sur l'écho de cette vie de malheur où l'on retire aux gens ce qui fait leur bonheur
Toute proche de moi
Peut-être pour longtemps mais toujours aux abonnés absents
Elle manque à mes yeux
J'erre seul
Je profitais
Je goûtais les choses sans remettre en cause
Je flânais, une fois, mille fois, trop sûr de moi
Et je me surprenais, à lui dire des choses sans cacher les causes
Et ça me touchait, une fois, mille fois, jamais sans toi
Je profitais
Je goûtais les choses sans remettre en cause
Je flânais, une fois, mille fois, trop sûr de moi.
Et je me surprenais à omettre des choses, à cacher les causes
Et ça me blessait, une fois, mille fois, à jamais sans toi
À découvrir les autres sans jamais toucher l'autre
À me blesser contre le vide qui m'entoure
Seul face à mon miroir, dans les draps de ces jours absents
Je marche sur l'écho de cette vie de malheur où l'on retire aux gens ce qui fait leur bonheur
Toute proche de moi
Peut-être pour longtemps mais toujours aux abonnés absents
Elle manque à mes yeux
J'erre seul
Je profitais
Je goûtais les choses sans remettre en cause
Je flânais, une fois, mille fois, trop sûr de moi
Et je me surprenais, à lui dire des choses sans cacher les causes
Et ça me touchait, une fois, mille fois, jamais sans toi
Je profitais
Je goûtais les choses sans remettre en cause
Je flânais, une fois, mille fois, trop sûr de moi.
Et je me surprenais à omettre des choses, à cacher les causes
Et ça me blessait, une fois, mille fois, à jamais sans toi