(Jean Albertini/Didier Barbelivien)
Il paraît que tu sors avec elle depuis au moins dix jours.
Il paraît qu'elle est plus qu'une amie, pas encore un amour.
Il paraît qu'elle a su te donner une autre identité
Que tu avais perdue à vivre à mes côtés.
Il paraît qu'elle est douce et gentille et que tu t'habitues.
Il paraît qu'elle s'installe dans ta vie sans que tu l'aies voulu.
Il paraît que c'est venu comme ça, que tu n'as rien choisi.
La tendresse qu'elle te donne ressemble à un défi.
Et toute la ville en parle avec des mots qui blessent
Comme les pages à scandales
Où j'apparais sans cesse en victime intégrale.
Et toute la ville en parle avec des mots d'injures
Comme à un tribunal où je ferais figure d'accusée principale.
Il paraît que tu la couvres de fleurs au premier vent d'automne.
Il paraît qu'à en croire la rumeur, tu ne crois plus personne.
Il paraît qu'elle t'attend chaque jour, chaque heure, chaque minute
Mais l'amour qu'elle te porte ressemble à une insulte.
Et toute la ville en parle avec des mots qui blessent
Comme les pages à scandales
Où j'apparais sans cesse en victime intégrale.
Et toute la ville en parle avec des mots d'injures
Comme à un tribunal où je ferais figure d'accusée principale.
Il paraît que tu sors avec elle depuis au moins dix jours.
Il paraît qu'elle est plus qu'une amie, pas encore un amour.
Il paraît qu'elle a su te donner une autre identité
Que tu avais perdue à vivre à mes côtés.
Il paraît qu'elle est douce et gentille et que tu t'habitues.
Il paraît qu'elle s'installe dans ta vie sans que tu l'aies voulu.
Il paraît que c'est venu comme ça, que tu n'as rien choisi.
La tendresse qu'elle te donne ressemble à un défi.
Et toute la ville en parle avec des mots qui blessent
Comme les pages à scandales
Où j'apparais sans cesse en victime intégrale.
Et toute la ville en parle avec des mots d'injures
Comme à un tribunal où je ferais figure d'accusée principale.
Il paraît que tu la couvres de fleurs au premier vent d'automne.
Il paraît qu'à en croire la rumeur, tu ne crois plus personne.
Il paraît qu'elle t'attend chaque jour, chaque heure, chaque minute
Mais l'amour qu'elle te porte ressemble à une insulte.
Et toute la ville en parle avec des mots qui blessent
Comme les pages à scandales
Où j'apparais sans cesse en victime intégrale.
Et toute la ville en parle avec des mots d'injures
Comme à un tribunal où je ferais figure d'accusée principale.