Je suis vivant,
Simplement
Et le temps s'en va.
Revoilà la Saint-Michel
Et Noël.
Une année sans toi.
J'étais vivant
Plus souvent
Quand tu étais là.
De Brumaire en Germinal,
Je vais mal.
Toi, comment tu vas ?
Le temps glisse sur ma peau
Et rien à faire
Pour trouver le repos
Dans cette vie qui s'accélère.
Cet homme qui paraît un siècle,
Il vient de naître
Et il n'y comprend rien
Deux ou trois rides sur les mains
Et c'est la fin.
J'étais vivant,
Bien vivant.
Maintenant je suis quoi ?
Un point dans ton souvenir.
L'avenir
Est si loin déjà.
Tes seins brûlants
Des volcans,
Tendus comme un glaive,
Je les ai longtemps rêvés,
Caressés.
Maintenant j'en crève.
Le temps glisse sur ma peau
Et rien à faire pour trouver le repos.
Dans cette vie qui s'accélère,
Cet homme qui paraît un siècle,
Il vient de naître
Et il n'y comprend rien.
Deux ou trois rides sur les mains
Et c'est la fin.
Simplement
Et le temps s'en va.
Revoilà la Saint-Michel
Et Noël.
Une année sans toi.
J'étais vivant
Plus souvent
Quand tu étais là.
De Brumaire en Germinal,
Je vais mal.
Toi, comment tu vas ?
Le temps glisse sur ma peau
Et rien à faire
Pour trouver le repos
Dans cette vie qui s'accélère.
Cet homme qui paraît un siècle,
Il vient de naître
Et il n'y comprend rien
Deux ou trois rides sur les mains
Et c'est la fin.
J'étais vivant,
Bien vivant.
Maintenant je suis quoi ?
Un point dans ton souvenir.
L'avenir
Est si loin déjà.
Tes seins brûlants
Des volcans,
Tendus comme un glaive,
Je les ai longtemps rêvés,
Caressés.
Maintenant j'en crève.
Le temps glisse sur ma peau
Et rien à faire pour trouver le repos.
Dans cette vie qui s'accélère,
Cet homme qui paraît un siècle,
Il vient de naître
Et il n'y comprend rien.
Deux ou trois rides sur les mains
Et c'est la fin.