De nos cris de douleur naîtront des mots d'amour.
O frère des souffrances partagées,
C'est ton cœur blessé qui bat dans mon cœur lourd,
Ce sont tes larmes que j'ai versées.
Nous irons nager dans la même rivière un jour,
Avec nos fils à nos côtés,
Quand nos cris de douleur seront des mots d'amour,
O frère des souffrances partagées.
Ton âme est là, vivante, encore et pour toujours,
Si belle d'avoir tant aimé.
La nuit s'achève enfin. Le temps est court.
Voici l'aube de la grande clarté.
Rien n'est plus difficile au monde sans bravoure
Que de pouvoir pardonner.
Pardonne. Les hommes étaient encore aveugles et sourds,
Pauvres d'avoir si peu aimé.
Le soleil se dévoile. Les blés sont lourds.
L'herbe est haute et le vent léger
Et je nage avec toi dans la lumière du jour
Avec nos films à nos côtés.
La nuit s'achève enfin. Le temps est court.
Voici l'aube de la grande clarté
Et nos cris de douleur deviennent des mots d'amour,
O frère des souffrances partagées.
O frère des souffrances partagées,
C'est ton cœur blessé qui bat dans mon cœur lourd,
Ce sont tes larmes que j'ai versées.
Nous irons nager dans la même rivière un jour,
Avec nos fils à nos côtés,
Quand nos cris de douleur seront des mots d'amour,
O frère des souffrances partagées.
Ton âme est là, vivante, encore et pour toujours,
Si belle d'avoir tant aimé.
La nuit s'achève enfin. Le temps est court.
Voici l'aube de la grande clarté.
Rien n'est plus difficile au monde sans bravoure
Que de pouvoir pardonner.
Pardonne. Les hommes étaient encore aveugles et sourds,
Pauvres d'avoir si peu aimé.
Le soleil se dévoile. Les blés sont lourds.
L'herbe est haute et le vent léger
Et je nage avec toi dans la lumière du jour
Avec nos films à nos côtés.
La nuit s'achève enfin. Le temps est court.
Voici l'aube de la grande clarté
Et nos cris de douleur deviennent des mots d'amour,
O frère des souffrances partagées.