Je sais juste qui vous êtes
Les feux tournent dans ma tête
Et les portes s'ouvrent à deux battants
Je vous attends,
Des cloches fêlées disent non
Mais que m'importe votre nom
Dans la cheminée les flammes ont raison
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Le sommeil s'enfuit de mon lit
Dans les chemins creux je le suis
J'attends d'avoir presque peur
D'un loup qui serait vous,
La nuit m'écoute et je parle
De moi et des cathédrales,
De n'importe quoi et quand j'ai fini
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Pour nous retrouver face à face
Je reviendrais sur mes pas
Quel qu'il soit, le temps qui passe
Ne vous effacera pas,
Des diamants craquent sous mes pas
Mais le froid ne mord que mes doigts
Le vent d'hiver n'éteint pas mes joues
Je pense à vous,
Aux pagodes aux toits de vermeil
Aux fleuves blancs sous le soleil
Je serre ma fourrure
Et j'avoue que
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Le cheval noir qui se dérobe
Très loin je vois déjà l'aube,
Le pont doit s'ouvrir,
Le jour est là
Je pense à vous,
Vitrines et voitures dansent
Tout ça dans un grand silence
Car cent guitares me parlent de vous
Et
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Les feux tournent dans ma tête
Et les portes s'ouvrent à deux battants
Je vous attends,
Des cloches fêlées disent non
Mais que m'importe votre nom
Dans la cheminée les flammes ont raison
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Le sommeil s'enfuit de mon lit
Dans les chemins creux je le suis
J'attends d'avoir presque peur
D'un loup qui serait vous,
La nuit m'écoute et je parle
De moi et des cathédrales,
De n'importe quoi et quand j'ai fini
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Pour nous retrouver face à face
Je reviendrais sur mes pas
Quel qu'il soit, le temps qui passe
Ne vous effacera pas,
Des diamants craquent sous mes pas
Mais le froid ne mord que mes doigts
Le vent d'hiver n'éteint pas mes joues
Je pense à vous,
Aux pagodes aux toits de vermeil
Aux fleuves blancs sous le soleil
Je serre ma fourrure
Et j'avoue que
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous
Le cheval noir qui se dérobe
Très loin je vois déjà l'aube,
Le pont doit s'ouvrir,
Le jour est là
Je pense à vous,
Vitrines et voitures dansent
Tout ça dans un grand silence
Car cent guitares me parlent de vous
Et
J'ai envie d'être à vous
D'être à vous, d'être à vous
Tellement
D'être à vous