"On apprend l'eau par la soif
Et la passion par les affres"
Elle a appris l'amour par lui
Et ne s'en est jamais remis
Et je l'ai vu courber le dos
Je l'ai vu pleurer des ruisseaux
Il lui a chanté ritournelle
Elle s'est sentie pousser des ailes
Mais il n'a pas eu l'étincelle
Et depuis, pour oublier
Elle couche des mots sur le papier
Il lui reste son piano
Pour l'aider à porter son fardeau
Elle pleurera des larmes en vers
Un jour viendra, passera l'hiver
Son chagrin, elle en fait des chansons
En espérant qu'elles l'atteindront
Comme des bouteilles à la mer
En espérant, un jour, lui plaire
En attendant, elle auditionne
Avec d'autres, elle papillonne
Mais elle regarde son téléphone
En espérant qu'il la sonne
Y en a qui disent qu'elle est conne
Ceux-là n'ont jamais aimé personne
Elle accepte à demi-mot
De n'être qu'un simple numéro
Elle aurait tant voulu compter
Et pour ne pas désespérer
Elle couche des mots sur le papier
Un amour tenace n'est pas perdu
Un soir, le voilà revenu
Elle lui chante sa ritournelle
Tant pis si elle se brûle les ailes
Elle fait visiter ses dentelles
Et le beau se fait la belle
Combien de coups de couteaux
Pour arrêter un cœur si gros ?
Elle aurait tant voulu l'aimer
Et à défaut de l'embrasser
Elle couche des mots sur le papier
Il lui reste son piano
Pour l'aider à porter son fardeau
Elle pleurera des larmes en vers
Comme des bouteilles à la mer
Un jour viendra, passera l'hiver
Mais toujours elle espère
Qu'il viendra à l'unisson
Poser un chœur sur sa chanson
Et la passion par les affres"
Elle a appris l'amour par lui
Et ne s'en est jamais remis
Et je l'ai vu courber le dos
Je l'ai vu pleurer des ruisseaux
Il lui a chanté ritournelle
Elle s'est sentie pousser des ailes
Mais il n'a pas eu l'étincelle
Et depuis, pour oublier
Elle couche des mots sur le papier
Il lui reste son piano
Pour l'aider à porter son fardeau
Elle pleurera des larmes en vers
Un jour viendra, passera l'hiver
Son chagrin, elle en fait des chansons
En espérant qu'elles l'atteindront
Comme des bouteilles à la mer
En espérant, un jour, lui plaire
En attendant, elle auditionne
Avec d'autres, elle papillonne
Mais elle regarde son téléphone
En espérant qu'il la sonne
Y en a qui disent qu'elle est conne
Ceux-là n'ont jamais aimé personne
Elle accepte à demi-mot
De n'être qu'un simple numéro
Elle aurait tant voulu compter
Et pour ne pas désespérer
Elle couche des mots sur le papier
Un amour tenace n'est pas perdu
Un soir, le voilà revenu
Elle lui chante sa ritournelle
Tant pis si elle se brûle les ailes
Elle fait visiter ses dentelles
Et le beau se fait la belle
Combien de coups de couteaux
Pour arrêter un cœur si gros ?
Elle aurait tant voulu l'aimer
Et à défaut de l'embrasser
Elle couche des mots sur le papier
Il lui reste son piano
Pour l'aider à porter son fardeau
Elle pleurera des larmes en vers
Comme des bouteilles à la mer
Un jour viendra, passera l'hiver
Mais toujours elle espère
Qu'il viendra à l'unisson
Poser un chœur sur sa chanson