Je ne me souviens pas du ciel rouge de mai
Qu'un matind'avril n'.aurait pu rêver,
De la robe courte que jeportais
Mais je me souviens: tu me regardais.
Je ne me souviens jamais du nouvel an,
De qui gouvernait les rires de chacun,
Et du feu de joie qu'un garçon roulait,
Je mesouviens on se regardait, on se regardait, je m'en souviens bien.
Je ne me souviens .pas de la vie amère qui m'accompagnait
Le long des boulevards,
De l'histoire autour du désir de plaire
Ce que je retiens : tu me regardais.
Je ne reviens pas sur les lettres écrites
Pour faire des passerelles dessus tes absences,
Tes excès de zèle ou d'indifférence.
Je me souviens juste : je l'ai regretté, je l'ai regretté,
Je me souviens bien
Je ne me souviens pas des valises ouvertes
Bien embarrassée d'être au mois.de mars,
Des .portes claquées sur le temps qui passe.
Je me souviens comme on se regardait.
Qu'un matind'avril n'.aurait pu rêver,
De la robe courte que jeportais
Mais je me souviens: tu me regardais.
Je ne me souviens jamais du nouvel an,
De qui gouvernait les rires de chacun,
Et du feu de joie qu'un garçon roulait,
Je mesouviens on se regardait, on se regardait, je m'en souviens bien.
Je ne me souviens .pas de la vie amère qui m'accompagnait
Le long des boulevards,
De l'histoire autour du désir de plaire
Ce que je retiens : tu me regardais.
Je ne reviens pas sur les lettres écrites
Pour faire des passerelles dessus tes absences,
Tes excès de zèle ou d'indifférence.
Je me souviens juste : je l'ai regretté, je l'ai regretté,
Je me souviens bien
Je ne me souviens pas des valises ouvertes
Bien embarrassée d'être au mois.de mars,
Des .portes claquées sur le temps qui passe.
Je me souviens comme on se regardait.