Istanbul, je pense souvent à tes mosquées
Et à tes longs minarets qui s'élancent vers le ciel.
Istanbul, souvent je rêve aux eaux bleues du Bosphore
Où se mirait un visage, un visage bien aimé.
Istanbul, Istanbul, j'ai laissé dans tes murs,
Istanbul, Istanbul, une fille au cœur pur,
Une enfant que j'aime,
Belle comme un poème,
Avec de grands yeux noirs
Pareils à l'ombre du soir.
Istanbul, pourquoi la vie sépare-t-elle les amants ?
Istanbul, pourquoi existe-t-il des montagnes, des océans
Entre ceux qui s'aiment ?
Istanbul, Istanbul, j'ai soif de ses baisers,
Istanbul, Istanbul, de sa peau veloutée.
J'ai faim de ses regards,
Je voudrais la revoir
Pour abreuver mon cœur
D'un peu de bonheur.
Mais je sais qu'un jour,
Tout gonflé d'amour,
Je lui dirai "Chérie, bonsoir".
La main dans la main,
Sous ton ciel cristallin,
Nous sortirons tous les soirs.
Il y aura de nouveau
Chants et danses à gogo.
Il y aura mille joies encore
Et avec tous nos amis
Nous irons boire du raki
Dans les beaux restaurants du Bosphore.
Istanbul.
Et à tes longs minarets qui s'élancent vers le ciel.
Istanbul, souvent je rêve aux eaux bleues du Bosphore
Où se mirait un visage, un visage bien aimé.
Istanbul, Istanbul, j'ai laissé dans tes murs,
Istanbul, Istanbul, une fille au cœur pur,
Une enfant que j'aime,
Belle comme un poème,
Avec de grands yeux noirs
Pareils à l'ombre du soir.
Istanbul, pourquoi la vie sépare-t-elle les amants ?
Istanbul, pourquoi existe-t-il des montagnes, des océans
Entre ceux qui s'aiment ?
Istanbul, Istanbul, j'ai soif de ses baisers,
Istanbul, Istanbul, de sa peau veloutée.
J'ai faim de ses regards,
Je voudrais la revoir
Pour abreuver mon cœur
D'un peu de bonheur.
Mais je sais qu'un jour,
Tout gonflé d'amour,
Je lui dirai "Chérie, bonsoir".
La main dans la main,
Sous ton ciel cristallin,
Nous sortirons tous les soirs.
Il y aura de nouveau
Chants et danses à gogo.
Il y aura mille joies encore
Et avec tous nos amis
Nous irons boire du raki
Dans les beaux restaurants du Bosphore.
Istanbul.