yo
yo
mon inspiration, puisée dans une grosse machine
les pneus qui crissent la ville en état d'crise
du ciment, a perte de vue
une emotion demente, quand ton père se tue
ok s'correct, non ya pas d'f*** quand j'sors
vu qu'ya un bat de base en d'sous du banc d'char
des fois les morts, sortent d'leur royaume, sa va juste un peu trop vite, on s'fait coller par des fantomes
les amende sont sallées, au gout d'la moyenne
ta liberté aveuglée par du poivre de cayenne
la cellule peut peut être nourir les lâches, mais nous on crache dans soupe meme quand ki nous relachent
la rue nous re-accueille, pleine de promesses
en croisant son cercueil, on ecoute la grand messe
a toute vitesse, nostalgique, avant qu'sonne la cloche dl'horloge biologique
fec
si la vie suit son cours, moi j'fox
jmarche pas au crédit, j'cours a contre-courant
mais pourquoi courir, si sa nous donne des idées
comme manger pour s'remplir, ou faire l'amour pour s'vider
on s'laisse guider par la facilité, en faisant rien on s'dit k'on profite bien dla vie
dans nos livres a nous, ya rien d'ecrit, ya juste des pages pleines d'images 18 ans et plus
ya des poubelles, en jartelles, ambulantes
vide toi d'dans pour vingt piaces si sa t'tente
ki dit k'kan k'tu rap i faut k'tu montre l'exemple
moi j'dis ferme ta trappe, c la pente ke j'monte
pi les jeunes ki a**imilent ske jdis sans nuances, bin yarrivent en bus mais i r'partent en ambulance
c mon inspiration, c nos joies nos souffrances, c pas l'rap qui sort des statut d'france, c la ligne bleue, c ma click, c les f***és dans tete, les putes les punk les robineux
ceux qui revent la nuit, qu'la broue sorte par l'robinet
les gros minets, qui veulent déchiqueter tweetie
quand nos envies deviennent incontrolables, faut qu'sa sorte au plus criss, on s'rend controlable
??? pour qu'les femmes d'emcees d'viennent veuves, pour qu'sa pete comme au pays des deux fleuves
j'aime me battre contre toute forme d'occupation, pi jme tue si jai pu aucune passion
la vie est belle, on veut en profiter
meme si dans l'systeme on a pas pu fitter
drame d'action, la rue en premier plan, avec le bruit d'nos vies pour arriere chant
l'ecole, loin derriere
j'me'rtourne, mais on la voi pu tellement k'on la dans l'derriere
c du vrai, c du cru, c du rue, mon inspiration M A N U
yo
mon inspiration, puisée dans une grosse machine
les pneus qui crissent la ville en état d'crise
du ciment, a perte de vue
une emotion demente, quand ton père se tue
ok s'correct, non ya pas d'f*** quand j'sors
vu qu'ya un bat de base en d'sous du banc d'char
des fois les morts, sortent d'leur royaume, sa va juste un peu trop vite, on s'fait coller par des fantomes
les amende sont sallées, au gout d'la moyenne
ta liberté aveuglée par du poivre de cayenne
la cellule peut peut être nourir les lâches, mais nous on crache dans soupe meme quand ki nous relachent
la rue nous re-accueille, pleine de promesses
en croisant son cercueil, on ecoute la grand messe
a toute vitesse, nostalgique, avant qu'sonne la cloche dl'horloge biologique
fec
si la vie suit son cours, moi j'fox
jmarche pas au crédit, j'cours a contre-courant
mais pourquoi courir, si sa nous donne des idées
comme manger pour s'remplir, ou faire l'amour pour s'vider
on s'laisse guider par la facilité, en faisant rien on s'dit k'on profite bien dla vie
dans nos livres a nous, ya rien d'ecrit, ya juste des pages pleines d'images 18 ans et plus
ya des poubelles, en jartelles, ambulantes
vide toi d'dans pour vingt piaces si sa t'tente
ki dit k'kan k'tu rap i faut k'tu montre l'exemple
moi j'dis ferme ta trappe, c la pente ke j'monte
pi les jeunes ki a**imilent ske jdis sans nuances, bin yarrivent en bus mais i r'partent en ambulance
c mon inspiration, c nos joies nos souffrances, c pas l'rap qui sort des statut d'france, c la ligne bleue, c ma click, c les f***és dans tete, les putes les punk les robineux
ceux qui revent la nuit, qu'la broue sorte par l'robinet
les gros minets, qui veulent déchiqueter tweetie
quand nos envies deviennent incontrolables, faut qu'sa sorte au plus criss, on s'rend controlable
??? pour qu'les femmes d'emcees d'viennent veuves, pour qu'sa pete comme au pays des deux fleuves
j'aime me battre contre toute forme d'occupation, pi jme tue si jai pu aucune passion
la vie est belle, on veut en profiter
meme si dans l'systeme on a pas pu fitter
drame d'action, la rue en premier plan, avec le bruit d'nos vies pour arriere chant
l'ecole, loin derriere
j'me'rtourne, mais on la voi pu tellement k'on la dans l'derriere
c du vrai, c du cru, c du rue, mon inspiration M A N U