Tu joues seulement pour gagner à ce jeu sans règles
Ou seulement les tiennes qu'il faut déchiffrer
Comme les os d'un griot dans les clous que tu sèmes derrière ton dos
Qui me transforme en statue de plaies sur laquelle tu jettes du sel
Et tu disparais dans l'aveuglante douleur
Et ce seront les sentiments d'un autre qui courront sur ta peau
Comme un jeu de c***n fou
Se seront ces mots que tu engouffreras
Ses mains d'or et de satin ton favori butin
Tu lui prendras tout ce qu'il a, tu y prendras plaisir
Et lui dans le mutisme de l'échec, il ne pourras pas me dire
Qui tu étais cette fois-ci
De quelle façon tu prétendais tes envies
Et de son coeur écrasé s'échapperont les milles questions
Qui rejoindront les miennes dans le ruisseau
Et tu iras d'un bond tranquille secouer d'autre mers, d'autre îles
Changeant de couleur au gré du courant
Te faisant rétif récif tu t'amarres de tristes épaves
Que tu abandonnes la tripe à vif découpées par ton sillage
Sans même le radeau d'un mot gentil
Et abordant d'autres rivages qui seras-tu cette fois-ci
Pousseras-tu les mêmes cris, saura-t-il s'en amuser comme tant d'autres
Se fera-t-il abuser du flot de tes jouissances
De laquelle de tes révolutions seras-tu le fer de lance
Sera-t-il transpercé de ton indépendance
De quelle dorure peindras-tu ton coeur
De quel déguisement habilleras-tu tes sentiments
Ne lui laisseras-tu comme vague odeur que celle fétide d'un lendemain de fête
Une fête que toi tu t'es faite
Mais que lui ça lui aura fait perdre la tête
Tu joues seulement pour gagner
Tu joues toute seule
Ou seulement les tiennes qu'il faut déchiffrer
Comme les os d'un griot dans les clous que tu sèmes derrière ton dos
Qui me transforme en statue de plaies sur laquelle tu jettes du sel
Et tu disparais dans l'aveuglante douleur
Et ce seront les sentiments d'un autre qui courront sur ta peau
Comme un jeu de c***n fou
Se seront ces mots que tu engouffreras
Ses mains d'or et de satin ton favori butin
Tu lui prendras tout ce qu'il a, tu y prendras plaisir
Et lui dans le mutisme de l'échec, il ne pourras pas me dire
Qui tu étais cette fois-ci
De quelle façon tu prétendais tes envies
Et de son coeur écrasé s'échapperont les milles questions
Qui rejoindront les miennes dans le ruisseau
Et tu iras d'un bond tranquille secouer d'autre mers, d'autre îles
Changeant de couleur au gré du courant
Te faisant rétif récif tu t'amarres de tristes épaves
Que tu abandonnes la tripe à vif découpées par ton sillage
Sans même le radeau d'un mot gentil
Et abordant d'autres rivages qui seras-tu cette fois-ci
Pousseras-tu les mêmes cris, saura-t-il s'en amuser comme tant d'autres
Se fera-t-il abuser du flot de tes jouissances
De laquelle de tes révolutions seras-tu le fer de lance
Sera-t-il transpercé de ton indépendance
De quelle dorure peindras-tu ton coeur
De quel déguisement habilleras-tu tes sentiments
Ne lui laisseras-tu comme vague odeur que celle fétide d'un lendemain de fête
Une fête que toi tu t'es faite
Mais que lui ça lui aura fait perdre la tête
Tu joues seulement pour gagner
Tu joues toute seule