Les enfants des autres ne sont pas pour toi,
ils s'en vont un matin dans la brume d'un nouveau
destin tant de fois tu peux croire ta paume gravée
dans sa main tant de fois tu peux croire ton
ptit cœur et le sien n'en faire plus qu'un
tant de fois tu peux croire mais t'es le père de rien
Les enfants des autres n'existent pas
ils se pressent contre toi juste le temps qu'on leur laisse le droit
ils n'ont besoin de croire en rien ils vont juste là où ils sentent bien
Les enfants des autres ils t'apparaissent dans la nuit
comme de bons apôtres pour déchirer ton ennui
ils agrandiront tes envies ils t'agrandiront tant de fois
mais tu restes tout petit
toi
t'es le père de rien.
Les enfants des autres
sont beaux comme des femmes inaccessibles
et pourtant ils te parlent affables et disponibles
ils t'embrassent et te caressent
d'un éclat de ride d'une joie une tape sur la fesse
ils font de toi ce que tu n'es jamais ailleurs
un homme dans un instant de bonheur
des larmes plein les yeux, des larmes d'amoureux
Les enfants des autres n'existent pas
Ils se pressent contre toi juste le temps qu'on leur laisse le droit
ils n'ont besoin de croire en rien ils vont juste là où ils se sentent bien
Allez salut à une prochaine fois si tu te souviens de moi un jour
quand tu seras grand
passe donc faire un tour
ils s'en vont un matin dans la brume d'un nouveau
destin tant de fois tu peux croire ta paume gravée
dans sa main tant de fois tu peux croire ton
ptit cœur et le sien n'en faire plus qu'un
tant de fois tu peux croire mais t'es le père de rien
Les enfants des autres n'existent pas
ils se pressent contre toi juste le temps qu'on leur laisse le droit
ils n'ont besoin de croire en rien ils vont juste là où ils sentent bien
Les enfants des autres ils t'apparaissent dans la nuit
comme de bons apôtres pour déchirer ton ennui
ils agrandiront tes envies ils t'agrandiront tant de fois
mais tu restes tout petit
toi
t'es le père de rien.
Les enfants des autres
sont beaux comme des femmes inaccessibles
et pourtant ils te parlent affables et disponibles
ils t'embrassent et te caressent
d'un éclat de ride d'une joie une tape sur la fesse
ils font de toi ce que tu n'es jamais ailleurs
un homme dans un instant de bonheur
des larmes plein les yeux, des larmes d'amoureux
Les enfants des autres n'existent pas
Ils se pressent contre toi juste le temps qu'on leur laisse le droit
ils n'ont besoin de croire en rien ils vont juste là où ils se sentent bien
Allez salut à une prochaine fois si tu te souviens de moi un jour
quand tu seras grand
passe donc faire un tour