Au dessus de l'amour plane un vent pour nous les vautours
Les endurants
Les résistants à la face du temps
Enfantin du soir au matin ça nous va bien
C'est pas avec un six coups mais avec six cordes pour le coup
Qu'on avance en avalanche dans l'arène de la glu
On y laissera nos pompes et la crosse de nos fusils
Goya ne nous peindra plus
Y'a longtemps qu'on l'a laissé pour f***u
Sur le pavé d'un enfer doré les flammes de nos plaisirs
Brûlent encore au fond des désirs
Il y aura toujours le sens du vent pour savoir contre quoi lutter
On y reconnaîtra les endurants aux flammes qu'ils ont sous leurs pieds
On remontera cent fois la ruine sur nos habits
Des villes entières qu'on y a construit
Pour les f***re en l'air avec appét**
On est pas près de sécher l'encre notre navire n'est qu'un ventre
Où tout se digère ou tout s'exagère
La vie n'est qu'une passagère d'un élan beaucoup plus fort
Notre corps n'est qu'une artère le boulevard de l'éternel effort
Nous ne sommes que des hommes de fer
Sur lesquels glissent les pauvres guerres
Même les yeux ne peuvent nous suivre
Quand ils se ferment ils cessent de vivre
Et notre rêve les engloutit
Les endurants
Les résistants à la face du temps
Enfantin du soir au matin ça nous va bien
C'est pas avec un six coups mais avec six cordes pour le coup
Qu'on avance en avalanche dans l'arène de la glu
On y laissera nos pompes et la crosse de nos fusils
Goya ne nous peindra plus
Y'a longtemps qu'on l'a laissé pour f***u
Sur le pavé d'un enfer doré les flammes de nos plaisirs
Brûlent encore au fond des désirs
Il y aura toujours le sens du vent pour savoir contre quoi lutter
On y reconnaîtra les endurants aux flammes qu'ils ont sous leurs pieds
On remontera cent fois la ruine sur nos habits
Des villes entières qu'on y a construit
Pour les f***re en l'air avec appét**
On est pas près de sécher l'encre notre navire n'est qu'un ventre
Où tout se digère ou tout s'exagère
La vie n'est qu'une passagère d'un élan beaucoup plus fort
Notre corps n'est qu'une artère le boulevard de l'éternel effort
Nous ne sommes que des hommes de fer
Sur lesquels glissent les pauvres guerres
Même les yeux ne peuvent nous suivre
Quand ils se ferment ils cessent de vivre
Et notre rêve les engloutit