(REFRAIN)
Comme le monde est beau ma fille, comme le monde est las
Comme le monde est beau ici, mais tu ne le sais pas
Range ta peine et tes soucis, jette-les dans les bois
Entre la haine et le mépris, ils seront toujours là
Elle est partie comme tous les matins
Direction la rivière et son sceau dans les mains
Avec l'esprit dérangé par des images de ce beau vaurien
Ses petits pas sur de l'herbe bien verte évitaient toutes les pierres qui bordaient le chemin
En avançant le coeur léger, qui n'a jamais connu le chagrin
Elle ne savait ni que dire, ni que faire, quand elle s'approcherait du lavoir au moulin
Devant les bigotes acérées qui tapent fort le linge des mains
Car elle avait embrassé un jeune homme venu d'un autre coin
La veille près du champ de blé que le feu de la saint Jean connait bien
(REFRAIN)
Elle jetta son sceau dans l'eau agitée devant toutes ces femmes qui n'étaient pas très loin
Qui commençaient à rigoler se tapant fort la tête dans leurs seins
Sortaient de là des mots tellement vulgaires qu'elle voulait oublier ce troupeau de bovin
Mais comment ne pas écouter, portés par les vents ces mots divins
Elle qui voulait tant refaire à l'envers son chemin maintenant que son sceau était plein
Ne pouvait même plus bouger, sentiments fort et bien humain
Car il fallait endurer toutes les moqueries et les potins
Rester là debout plantée, devant toute la x** des siens
(REFRAIN)
(Comme le monde est beau x2)
La jeune femme a trouvé l'amour, a trouvé l'amour venu d'un autre bourg
Et vous pouvez la juger, rigoler, radoter, continuer vos aboiements de c***ns
La jeune fille se mit donc à crier qu'elle au moins ne s'est jamais couchée dans les foins
Les bigotes sont sous le choc
(REFRAIN)
Mais comme le monde est beau
Comme le monde est beau
Mais comme le monde est beau
Comme le monde est beau
Comme le monde est beau ma fille, comme le monde est las
Comme le monde est beau ici, mais tu ne le sais pas
Range ta peine et tes soucis, jette-les dans les bois
Entre la haine et le mépris, ils seront toujours là
Elle est partie comme tous les matins
Direction la rivière et son sceau dans les mains
Avec l'esprit dérangé par des images de ce beau vaurien
Ses petits pas sur de l'herbe bien verte évitaient toutes les pierres qui bordaient le chemin
En avançant le coeur léger, qui n'a jamais connu le chagrin
Elle ne savait ni que dire, ni que faire, quand elle s'approcherait du lavoir au moulin
Devant les bigotes acérées qui tapent fort le linge des mains
Car elle avait embrassé un jeune homme venu d'un autre coin
La veille près du champ de blé que le feu de la saint Jean connait bien
(REFRAIN)
Elle jetta son sceau dans l'eau agitée devant toutes ces femmes qui n'étaient pas très loin
Qui commençaient à rigoler se tapant fort la tête dans leurs seins
Sortaient de là des mots tellement vulgaires qu'elle voulait oublier ce troupeau de bovin
Mais comment ne pas écouter, portés par les vents ces mots divins
Elle qui voulait tant refaire à l'envers son chemin maintenant que son sceau était plein
Ne pouvait même plus bouger, sentiments fort et bien humain
Car il fallait endurer toutes les moqueries et les potins
Rester là debout plantée, devant toute la x** des siens
(REFRAIN)
(Comme le monde est beau x2)
La jeune femme a trouvé l'amour, a trouvé l'amour venu d'un autre bourg
Et vous pouvez la juger, rigoler, radoter, continuer vos aboiements de c***ns
La jeune fille se mit donc à crier qu'elle au moins ne s'est jamais couchée dans les foins
Les bigotes sont sous le choc
(REFRAIN)
Mais comme le monde est beau
Comme le monde est beau
Mais comme le monde est beau
Comme le monde est beau