Il fut un âge,
où j'etais jeune où j'étais belle.
Sur mon visage,
nous pouvions lire dans l'eternel.
Dès à présent,
j'ai pris du galon et le temps,
depuis l'enfance
est devenu femme, ça fait longtemps.
J'ai dans la main,
une larme qui roule comme une perle.
Fameux destin:
que d'être moi que d'être celle.
Pour bien entendu que le meilleur reste à venir
Je pose un Q et puis je me mets à réfléchir.
a**ise là
Où je revasse,
je vois la vie en rose
le temps qui passe
et toutes ces belles choses
qui nous surpassent
mais qui laissent leur traces.
Tu ne pensais pas
laisser ta place
penser à d'autres choses
qu'aux gens qui passent,
à leurs métamorphoses.
Perdront-ils la face
en nous cédant la place?
Bon débarras!
ça déménage dans ma cervelle:
là où deux bras
je prie la terre je prie le ciel
à voir d'ici,
on prend peu de place face à l'ennui
et c'est ainsi,
depuis que mon coeur a rétréci.
Oui, mais moi, je
dis que c'est clair mais pas facile
de jouer à ce jeu
équilibriste, c'est pas mon style.
Sans faire défaut,
je suis heureuse et je l'a**ume.
Et rien qu'un mot,
écrit du poing et de la plume.
a**ise là
Où je revasse,
je vois la vie en rose
le temps qui passe
et toutes ces belles choses
qui nous surpassent
mais qui laissent leur traces.
Tu ne pensais pas
laisser ta place
penser à d'autres choses
qu'aux gens qui passent,
à leurs métamorphoses.
Perdront-ils la face
en nous cédant la place?
où j'etais jeune où j'étais belle.
Sur mon visage,
nous pouvions lire dans l'eternel.
Dès à présent,
j'ai pris du galon et le temps,
depuis l'enfance
est devenu femme, ça fait longtemps.
J'ai dans la main,
une larme qui roule comme une perle.
Fameux destin:
que d'être moi que d'être celle.
Pour bien entendu que le meilleur reste à venir
Je pose un Q et puis je me mets à réfléchir.
a**ise là
Où je revasse,
je vois la vie en rose
le temps qui passe
et toutes ces belles choses
qui nous surpassent
mais qui laissent leur traces.
Tu ne pensais pas
laisser ta place
penser à d'autres choses
qu'aux gens qui passent,
à leurs métamorphoses.
Perdront-ils la face
en nous cédant la place?
Bon débarras!
ça déménage dans ma cervelle:
là où deux bras
je prie la terre je prie le ciel
à voir d'ici,
on prend peu de place face à l'ennui
et c'est ainsi,
depuis que mon coeur a rétréci.
Oui, mais moi, je
dis que c'est clair mais pas facile
de jouer à ce jeu
équilibriste, c'est pas mon style.
Sans faire défaut,
je suis heureuse et je l'a**ume.
Et rien qu'un mot,
écrit du poing et de la plume.
a**ise là
Où je revasse,
je vois la vie en rose
le temps qui passe
et toutes ces belles choses
qui nous surpassent
mais qui laissent leur traces.
Tu ne pensais pas
laisser ta place
penser à d'autres choses
qu'aux gens qui passent,
à leurs métamorphoses.
Perdront-ils la face
en nous cédant la place?