Il y avait des canards,
Un gros et plein de petits,
C'était si beau à voir
L'après-midi.
Le lac comme un miroir,
Leur glissait sous les plumes,
Il y avait des canards
Ce jour-là, je présume.
On les a tant guettés,
Penché sur notre rive,
Un pied sec, un mouillé
On essayait de les suivre
Cinq heures de l'après-midi,
Sans faute ils arrivaient,
Le gros et les petits,
Qui le talonnaient.
Il y avait des canards,
Enfin je ne les ai pas vus,
Mais ce jour-là
Je vous jure qu'ils sont venus.
Ils ont dû se pavaner,
Ils ont dû faire les beaux,
Filer entre le quai
Et le bateau...
C'était un beau samedi,
Le chalet était bondé,
Quand cinq heure de l'après-midi
A Sonné,
Le temps d'allumer le four,
Destiné aux pizzas,
Le temps, je vous a**ure,
Aussi court que ça!
Cinq heures était passé,
D'a peine quelques secondes,
Ça semblait bien se passer
Pour tout mon monde...
Je n'ai pas vu les canards,
Ni le gros, ni les petits,
Flotter sur le miroir
Que me cachaient mes amis
Je n'ai vu qu'un manteau,
Qui flottait comme une algue,
Un petit manteau bleu pâle,
Sur les vagues...
Sûrement que les canards,
Ont mérité la chance,
De lui dire au revoir,
En lui offrant une danse...
Il y avait des canards,
Un gros et plein de petits,
Si c'était pas de ces canards-là,
Je vous le dis,
On pourrait boire tranquille,
L'apéro sur le quai,
Et encore voir Mathilde
S'amuser.
Oui, ce sont les canards,
Qui me l'ont enlevée!
Avec leur grosse famille,
Et moi je n'avais qu'une fille...
Et moi je n'ai rien fait,
A part ne pas la voir,
Et sortir du chalet,
Trop tard...
Un gros et plein de petits,
C'était si beau à voir
L'après-midi.
Le lac comme un miroir,
Leur glissait sous les plumes,
Il y avait des canards
Ce jour-là, je présume.
On les a tant guettés,
Penché sur notre rive,
Un pied sec, un mouillé
On essayait de les suivre
Cinq heures de l'après-midi,
Sans faute ils arrivaient,
Le gros et les petits,
Qui le talonnaient.
Il y avait des canards,
Enfin je ne les ai pas vus,
Mais ce jour-là
Je vous jure qu'ils sont venus.
Ils ont dû se pavaner,
Ils ont dû faire les beaux,
Filer entre le quai
Et le bateau...
C'était un beau samedi,
Le chalet était bondé,
Quand cinq heure de l'après-midi
A Sonné,
Le temps d'allumer le four,
Destiné aux pizzas,
Le temps, je vous a**ure,
Aussi court que ça!
Cinq heures était passé,
D'a peine quelques secondes,
Ça semblait bien se passer
Pour tout mon monde...
Je n'ai pas vu les canards,
Ni le gros, ni les petits,
Flotter sur le miroir
Que me cachaient mes amis
Je n'ai vu qu'un manteau,
Qui flottait comme une algue,
Un petit manteau bleu pâle,
Sur les vagues...
Sûrement que les canards,
Ont mérité la chance,
De lui dire au revoir,
En lui offrant une danse...
Il y avait des canards,
Un gros et plein de petits,
Si c'était pas de ces canards-là,
Je vous le dis,
On pourrait boire tranquille,
L'apéro sur le quai,
Et encore voir Mathilde
S'amuser.
Oui, ce sont les canards,
Qui me l'ont enlevée!
Avec leur grosse famille,
Et moi je n'avais qu'une fille...
Et moi je n'ai rien fait,
A part ne pas la voir,
Et sortir du chalet,
Trop tard...