Refrain
Le son qui met la pression, garçon.
C'est l'oppressé contre la répression.
Y a plus de maître ici, plus d'MCs,
plus de saisons, tant de raisons dans mes récits.
[b***a]
Notre histoire, au moins j'espère qu'elle est pas trop triste à la fin.
Dans mon crew y a foule et c'est la folie qui l'emporte, ouais.
On dit, fait souvent n'importe quoi, du bruit comme un R1 sans pot.
J'suis impoli, je nie devant le daron, vis la nuit, ris devant Le Parrain.
C'est pas rose mais nique sa mère, ici c'est Paris. p***e devant la barre, Hauts-de-Seine est mon nombril, c'est la seule cicatrice qui mérite un nom.
Mérité d'être un homme, avoir la force du nombre et faire qu'un ;
si tu en tues un, tu sais bien qu'il en reste un.
Trop de tracas, offensives,
c'est le champs des civières, du 18 carats sur les gencives.
Refrain
[Ali]
Alors comme cela on veut racailler ?
Ma présence, une menace pour les khattayes, mental de muay-thaï, guerrier en paix avec moi-même.
Là où règne le KO, la maille en a a**ervi plus d'un. Coupables les fils de putes ne cessent de plaider, veulent salir nos pseudonymes : A.L.I., b***a, disent que Lunatic et criminalité sont synonymes. Grillés pour une histoire de traits et de mélanine, on nous endort mais ma croyance en l'au-delà me réanime, ramène ma force pour ma famille, ma team, mes intimes, 92 Infanterie.
Tous enfantés entre joies et douleurs, vois le monde comme une mauvaise plaisanterie : plaies, sang et corps meurtris, chants des sirènes, émeutes, cris et civières.
Civilisés, on a l'art de la guerre et nos troupes mobilisées des avants aux arrières. Soldats nés pour mourir, rien ne sert de courir. Pendant le repos, me souviens des instants paumés, marche lames de rasoir à la mâchoire.
Souvent dans le trom, agresse avec le sourire, prêt à partir en martyr, faut que les bourreaux apprennent à souffrir.
C'est l'oppressé contre la répression.
Lunatic, Révolution.
Refrain
[b***a]
Des raps sales comme mon argent et mon pécule à la que-ban ;
pour taffer ou pour dealer, partout y a la queue.
Vie crue, un vécu de poissard parmi les saï-saïs, les brassards, mon destin écrit sur du P.Q.
Anti-pédés, pages entières pour une mort violente garantie, frère, ici c'est Despee.
Horrifié parce que je récite l'illicite, kho, j'suis une cuillère, du feu, une seringue et du citron. Arrêtez de jacter, t'es un vrai gars, ouais, depuis hier, moi depuis mon premier K-way.
Tu t'adresses à qui ?
A moi, Brahms ou Issakha, à qui ?
Moi, quand je suis né j'étais kaki.
Le son qui met la pression, ce soir, c'est pour Ferber, Pont-de-Sévres et le square.
Le son qui met la pression, garçon.
C'est l'oppressé contre la répression.
Y a plus de maître ici, plus d'MCs,
plus de saisons, tant de raisons dans mes récits.
[b***a]
Notre histoire, au moins j'espère qu'elle est pas trop triste à la fin.
Dans mon crew y a foule et c'est la folie qui l'emporte, ouais.
On dit, fait souvent n'importe quoi, du bruit comme un R1 sans pot.
J'suis impoli, je nie devant le daron, vis la nuit, ris devant Le Parrain.
C'est pas rose mais nique sa mère, ici c'est Paris. p***e devant la barre, Hauts-de-Seine est mon nombril, c'est la seule cicatrice qui mérite un nom.
Mérité d'être un homme, avoir la force du nombre et faire qu'un ;
si tu en tues un, tu sais bien qu'il en reste un.
Trop de tracas, offensives,
c'est le champs des civières, du 18 carats sur les gencives.
Refrain
[Ali]
Alors comme cela on veut racailler ?
Ma présence, une menace pour les khattayes, mental de muay-thaï, guerrier en paix avec moi-même.
Là où règne le KO, la maille en a a**ervi plus d'un. Coupables les fils de putes ne cessent de plaider, veulent salir nos pseudonymes : A.L.I., b***a, disent que Lunatic et criminalité sont synonymes. Grillés pour une histoire de traits et de mélanine, on nous endort mais ma croyance en l'au-delà me réanime, ramène ma force pour ma famille, ma team, mes intimes, 92 Infanterie.
Tous enfantés entre joies et douleurs, vois le monde comme une mauvaise plaisanterie : plaies, sang et corps meurtris, chants des sirènes, émeutes, cris et civières.
Civilisés, on a l'art de la guerre et nos troupes mobilisées des avants aux arrières. Soldats nés pour mourir, rien ne sert de courir. Pendant le repos, me souviens des instants paumés, marche lames de rasoir à la mâchoire.
Souvent dans le trom, agresse avec le sourire, prêt à partir en martyr, faut que les bourreaux apprennent à souffrir.
C'est l'oppressé contre la répression.
Lunatic, Révolution.
Refrain
[b***a]
Des raps sales comme mon argent et mon pécule à la que-ban ;
pour taffer ou pour dealer, partout y a la queue.
Vie crue, un vécu de poissard parmi les saï-saïs, les brassards, mon destin écrit sur du P.Q.
Anti-pédés, pages entières pour une mort violente garantie, frère, ici c'est Despee.
Horrifié parce que je récite l'illicite, kho, j'suis une cuillère, du feu, une seringue et du citron. Arrêtez de jacter, t'es un vrai gars, ouais, depuis hier, moi depuis mon premier K-way.
Tu t'adresses à qui ?
A moi, Brahms ou Issakha, à qui ?
Moi, quand je suis né j'étais kaki.
Le son qui met la pression, ce soir, c'est pour Ferber, Pont-de-Sévres et le square.