J'ai peur à l'avance de crier ma foi
J'ai peur je pense de crier ma joie
Car quand on crie sa joie
On crie trop fort je crois
Ne les réveille pas
Tu sais les hommes ont leurs tempêtes
Des tempêtes sans fenêtres
Qu'ils ouvrent comme des vannes
Comme ça les soirs de fête
Je n'éclaire que moi
Je n'éclaire que moi
Je n'ose pas me taire
Sauf pour me servir à boire
En vidant les verres
Ceux que tu laisses
A trop vouloir y croire
Mes idées mes lumières
Tu sais les hommes ont leurs tempêtes
Des tempêtes sans fenêtres
Qu'ils ouvrent comme des vannes
Comme ça les soirs de fête
Je n'éclaire que moi
Je n'éclaire que moi
Je n'éclaire que moi
J'ai peur je pense de crier ma joie
Car quand on crie sa joie
On crie trop fort je crois
Ne les réveille pas
Tu sais les hommes ont leurs tempêtes
Des tempêtes sans fenêtres
Qu'ils ouvrent comme des vannes
Comme ça les soirs de fête
Je n'éclaire que moi
Je n'éclaire que moi
Je n'ose pas me taire
Sauf pour me servir à boire
En vidant les verres
Ceux que tu laisses
A trop vouloir y croire
Mes idées mes lumières
Tu sais les hommes ont leurs tempêtes
Des tempêtes sans fenêtres
Qu'ils ouvrent comme des vannes
Comme ça les soirs de fête
Je n'éclaire que moi
Je n'éclaire que moi
Je n'éclaire que moi