entends-tu le chant des morts
et ce pavé battu cent fois
le poing fermé jusqu'à s'en briser les doigts
tu sais quand la vie elle vous dévore
quand la vie elle vous dévore
il n'y a plus que ça
entends-tu le cri dehors
et l'amour scandé cent fois
le chant des vaux-riens,des renégats
et le sang qui prolifére
qui donne son sein aux libertaires
contre les rires et les renvois
contre les rires et les renvois
hasta siempre camarade
hasta siempre camarade
ne m'oublie pas
contre l'horreur qui raisonne
sous les sourdines des candidats
crier de l'hymne jusqu'à s'en briser la voix
il ya ce cri qui prolifére
c'est du sourire sans riviéres
contre les rires et les renvois
hasta siempre camarade
hasta siempre camarade
ne m'oublie pas
et ce pavé battu cent fois
le poing fermé jusqu'à s'en briser les doigts
tu sais quand la vie elle vous dévore
quand la vie elle vous dévore
il n'y a plus que ça
entends-tu le cri dehors
et l'amour scandé cent fois
le chant des vaux-riens,des renégats
et le sang qui prolifére
qui donne son sein aux libertaires
contre les rires et les renvois
contre les rires et les renvois
hasta siempre camarade
hasta siempre camarade
ne m'oublie pas
contre l'horreur qui raisonne
sous les sourdines des candidats
crier de l'hymne jusqu'à s'en briser la voix
il ya ce cri qui prolifére
c'est du sourire sans riviéres
contre les rires et les renvois
hasta siempre camarade
hasta siempre camarade
ne m'oublie pas