La belle de Cadix avait des yeux de velours,
Quand tous deux nous luttions, pour elle brûlant d'amour
Elle restait subjugue par ma fougue éclatante
Quand fou je piétinais la terre sèche et brûlante
La belle de Cadix tremblait d'un regard doux,
Excitée elle savait que j'étais prêt à tout
Je soufflais plein d'ardeur, songeant en combattant,
Qu'un oeil noir me regarde et que l'amour m'attend!
Pourquoi, pourquoi, quand tu restes embroché
Pourquoi, pourquoi, tu veux plus faire olé
Pourquoi, pourquoi, tu restes planté comme ça
Pourquoi, pourquoi, quand t'es mort tu ris pas
Souviens-toi, nous riions d'un entrain bienveillant,
Devant milliers millions aux gradins agglutinés
En passes et en esquives nous nous jouions de la mort,
La narguant sous les fleurs ou les sifflets du public
Mais maintenant malheur il oscille inconscient,
Empalé sur mes cornes son sang va s'écoulant
Tandis qu'elle hurle sa haine, rageuse et effondrée,
Criant de part l'arène tu es un meurtrier!
Pourquoi, pourquoi, quand tu restes embroché
Pourquoi, pourquoi, tu veux plus faire olé
Pourquoi, pourquoi, tu restes planté comme ça
Pourquoi, pourquoi, quand t'es mort tu ris pas
Pourquoi, pourquoi, elle pleure en m'insultant
Moi qui depuis toujours, l'aimais en y croyant
Pourquoi, pourquoi, son air large et hautain
Après un coup précis s'est soudainement éteint
Quand tous deux nous luttions, pour elle brûlant d'amour
Elle restait subjugue par ma fougue éclatante
Quand fou je piétinais la terre sèche et brûlante
La belle de Cadix tremblait d'un regard doux,
Excitée elle savait que j'étais prêt à tout
Je soufflais plein d'ardeur, songeant en combattant,
Qu'un oeil noir me regarde et que l'amour m'attend!
Pourquoi, pourquoi, quand tu restes embroché
Pourquoi, pourquoi, tu veux plus faire olé
Pourquoi, pourquoi, tu restes planté comme ça
Pourquoi, pourquoi, quand t'es mort tu ris pas
Souviens-toi, nous riions d'un entrain bienveillant,
Devant milliers millions aux gradins agglutinés
En passes et en esquives nous nous jouions de la mort,
La narguant sous les fleurs ou les sifflets du public
Mais maintenant malheur il oscille inconscient,
Empalé sur mes cornes son sang va s'écoulant
Tandis qu'elle hurle sa haine, rageuse et effondrée,
Criant de part l'arène tu es un meurtrier!
Pourquoi, pourquoi, quand tu restes embroché
Pourquoi, pourquoi, tu veux plus faire olé
Pourquoi, pourquoi, tu restes planté comme ça
Pourquoi, pourquoi, quand t'es mort tu ris pas
Pourquoi, pourquoi, elle pleure en m'insultant
Moi qui depuis toujours, l'aimais en y croyant
Pourquoi, pourquoi, son air large et hautain
Après un coup précis s'est soudainement éteint