La révolution n'est pas un diner de gala
elle est au bout des fusils
Au combinat sidérurgique de la ville Wu-Han
Au combinat sidérurgique de la ville Wu-Han
Il y a des hommes il y a des femmes qui déplacent les montagnes
Il y a des hommes qui triment comme Yu-Kong déplacait les montagnes
Ils sautent à pieds joints, un grand bond en avant
Oh oui, oh oui, cent fleurs au fond du coeur
Ils suent et ils rient, et s'ils poussent de travers
Ils seront redressés par un travail a**idu
Ils chantent, ils chantent, du Yunnan au Se-Tchouan
Et quand l'orient rougeoie, ils frétillent dans la joie
La révolution n'est pas un diner de gala
elle est au bout des fusils
Dans l'usine textile numéro douze de la ville de Chengdu
Dans l'usine textile numéro douze de la ville de Chengdu
Il y a des filles il y a des gars qui oeuvrent sans broncher
Il y a des filles qui font du petit bois des tigres en papier
Nageant comme des carpes, ils traversent le fleuve bleu
La révolution est belle, oui elle rend heureux
Pour atteindre l'harmonie, ils traverseront la porte
De la paix celeste sous les yeux du grand timonier
Ils chantent, ils chantent, et tous de bonne humeur
Dans les champs ils sifflotent, Mao au fond du coeur
La révolution n'est pas un diner de gala
elle est au bout des fusils
elle est au bout des fusils
Au combinat sidérurgique de la ville Wu-Han
Au combinat sidérurgique de la ville Wu-Han
Il y a des hommes il y a des femmes qui déplacent les montagnes
Il y a des hommes qui triment comme Yu-Kong déplacait les montagnes
Ils sautent à pieds joints, un grand bond en avant
Oh oui, oh oui, cent fleurs au fond du coeur
Ils suent et ils rient, et s'ils poussent de travers
Ils seront redressés par un travail a**idu
Ils chantent, ils chantent, du Yunnan au Se-Tchouan
Et quand l'orient rougeoie, ils frétillent dans la joie
La révolution n'est pas un diner de gala
elle est au bout des fusils
Dans l'usine textile numéro douze de la ville de Chengdu
Dans l'usine textile numéro douze de la ville de Chengdu
Il y a des filles il y a des gars qui oeuvrent sans broncher
Il y a des filles qui font du petit bois des tigres en papier
Nageant comme des carpes, ils traversent le fleuve bleu
La révolution est belle, oui elle rend heureux
Pour atteindre l'harmonie, ils traverseront la porte
De la paix celeste sous les yeux du grand timonier
Ils chantent, ils chantent, et tous de bonne humeur
Dans les champs ils sifflotent, Mao au fond du coeur
La révolution n'est pas un diner de gala
elle est au bout des fusils