Qu'est-ce qu'on y peut si l'on préfère encore le désordre
au silence?
Ca fait longtemps que l'on a vu notre futur dans les flaques
d'essence.
On aime le feu sur nos faces qui transpirent et le lune
quand elle danse à la décadence.
Sans regrets ni remords, c'est trop tard, on vit comme on
s'enfuit dans la lumière des phares pour mieux tromper la
mort.
Tant que l'on peut, de toute notre âme on refuse ce qui
nous attend au tournant.
Quand il faudrait qu'on s'abandonne au rituel du gaz et du
ciment, sans pourquoi ni comment.
Sans jamais crier gare, c'est trop tard, on vit comme on
s'enfuit dans la lumière des phares pour mieux tromper la
mort.
Qu'on nous voit comme des malades, des fous sans valeur
parce que nous sommes incapables de nous fondre dans un
monde idéal formaté sans saveur.
Rien à foutre, jamais on ne pourra renier notre cœur.
au silence?
Ca fait longtemps que l'on a vu notre futur dans les flaques
d'essence.
On aime le feu sur nos faces qui transpirent et le lune
quand elle danse à la décadence.
Sans regrets ni remords, c'est trop tard, on vit comme on
s'enfuit dans la lumière des phares pour mieux tromper la
mort.
Tant que l'on peut, de toute notre âme on refuse ce qui
nous attend au tournant.
Quand il faudrait qu'on s'abandonne au rituel du gaz et du
ciment, sans pourquoi ni comment.
Sans jamais crier gare, c'est trop tard, on vit comme on
s'enfuit dans la lumière des phares pour mieux tromper la
mort.
Qu'on nous voit comme des malades, des fous sans valeur
parce que nous sommes incapables de nous fondre dans un
monde idéal formaté sans saveur.
Rien à foutre, jamais on ne pourra renier notre cœur.