La nuit sera longue et blanche, déjà, on y voit tellement mieux qu'en plein jour.
J'ai rendez-vous avec toi ma princesse de cristal aux yeux fous, pour encore te suivre à la trace, ton portrait serré à mon coup.
Je te veux, pour moi seul, couchée sur la glace là où mon reflet devient flou.
De connivence, je flanche toujours du côté où ça penche.
Par chance, j'ai survécu aux avalanches.
Tant bien que mal.
Ce soir demain n'existe plus, pour le démon et ses merveilles, je pourrais, si jamais je suis perdu, gravir les neiges éternelles.
Comme une traînée de poudre, jusqu'à la dernière miette, j'ai dessiné ma route dans le tonnerre et la tempête.
De connivence, je flanche toujours du côté où ça penche.
Par chance, j'ai survécu aux avalanches.
Tant bien que mal.
En vagues de chaleur chavirée, elle s'approche et s'efface, je m'abandonne attiré.
Personne ne prendra sa place. Je ne veux rien savoir de ces choses qu'elle me cache.
À mesure qu'elle m'accroche le reste du monde se détache.
J'ai rendez-vous avec toi ma princesse de cristal aux yeux fous, pour encore te suivre à la trace, ton portrait serré à mon coup.
Je te veux, pour moi seul, couchée sur la glace là où mon reflet devient flou.
De connivence, je flanche toujours du côté où ça penche.
Par chance, j'ai survécu aux avalanches.
Tant bien que mal.
Ce soir demain n'existe plus, pour le démon et ses merveilles, je pourrais, si jamais je suis perdu, gravir les neiges éternelles.
Comme une traînée de poudre, jusqu'à la dernière miette, j'ai dessiné ma route dans le tonnerre et la tempête.
De connivence, je flanche toujours du côté où ça penche.
Par chance, j'ai survécu aux avalanches.
Tant bien que mal.
En vagues de chaleur chavirée, elle s'approche et s'efface, je m'abandonne attiré.
Personne ne prendra sa place. Je ne veux rien savoir de ces choses qu'elle me cache.
À mesure qu'elle m'accroche le reste du monde se détache.