Hurlez jusqu'à la lune, dansez pour le soleil.
Qu'il brille, qu'il brûle.
Qu'elle perde le sommeil.
Brûlez flambeaux, résonnez tambours jusqu'aux lumières du nouveau jour.
Comme la peau du serpent, notre terre est la chair.
Sommes-nous ses occupants?
Sommes-nous son cancer?
Encore grandir à nos dépends quand l'étau se resserre dans nos propres guet-apens, complices et adversaires.
Elle est le ventre qui nous porte, aussi le vent qui nous pousse.
Les vagues dégueulent et les nuages toussent.
La pierre qui roule nous écrase tous.
Entre le grand frisson qui obnubile et l'obsession des choses futiles, noyer les pleurs, remplir le vide dans une mer de cristaux liquides.
Prétentieux comme des cyclones, milliards de clones égocentriques que rien ne freine, rien ne résonne, avec nos arcs électriques.
On a voulu toucher la foudre, marier le feu avec la poudre.
Tantôt craintive ou intrépide, la convoitise est si limpide.
Hurlez jusqu'à la lune, dansez pour le soleil, qu'à nouveau nos yeux s'émerveillent.
Qu'il brille, qu'il brûle.
Qu'elle perde le sommeil.
Brûlez flambeaux, résonnez tambours jusqu'aux lumières du nouveau jour.
Comme la peau du serpent, notre terre est la chair.
Sommes-nous ses occupants?
Sommes-nous son cancer?
Encore grandir à nos dépends quand l'étau se resserre dans nos propres guet-apens, complices et adversaires.
Elle est le ventre qui nous porte, aussi le vent qui nous pousse.
Les vagues dégueulent et les nuages toussent.
La pierre qui roule nous écrase tous.
Entre le grand frisson qui obnubile et l'obsession des choses futiles, noyer les pleurs, remplir le vide dans une mer de cristaux liquides.
Prétentieux comme des cyclones, milliards de clones égocentriques que rien ne freine, rien ne résonne, avec nos arcs électriques.
On a voulu toucher la foudre, marier le feu avec la poudre.
Tantôt craintive ou intrépide, la convoitise est si limpide.
Hurlez jusqu'à la lune, dansez pour le soleil, qu'à nouveau nos yeux s'émerveillent.