Le fond et la forme, déforment et défont.
De vices de forme en lames de fond
La folie des hommes chante à l'unisson,
Fait des bulles comme dans l'eau des poisson
Voit dans les nuages, de sombres images.
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue.
Quand la lune est pleine d'ici on devine
Par dessus les plaines des arbres la cime.
Comme un sortilège parfois se dessine
Une forme aérienne nouée d'une ligne,
Le visage d'un ange, au sourire étrange.
Comme la terre est ronde,
comme l'eau est profonde,
comme la route est longue.
Les gens du village ne laissent pas faire
Les vauriens qui crachent devant le cimetière.
Et comme des lâches ils jettent des pierres
Sur les trains qui passent avant la frontière.
On aime son prochain, tous les dimanches matins.
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue.
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue.
Dans la grande ville le bruit du moteur
D'une chape grise étouffe nos cœurs,
Reste une valise, le regard moqueur,
Des phares qui scintillent, n'a plus de couleur.
Tout s'emballe d'un voile sale.
Le brouillard nous avale.
Le fond et la forme, déforment et défont.
De vices de forme en lames de fond
La folie des hommes chante à l'unisson,
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue
De vices de forme en lames de fond
La folie des hommes chante à l'unisson,
Fait des bulles comme dans l'eau des poisson
Voit dans les nuages, de sombres images.
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue.
Quand la lune est pleine d'ici on devine
Par dessus les plaines des arbres la cime.
Comme un sortilège parfois se dessine
Une forme aérienne nouée d'une ligne,
Le visage d'un ange, au sourire étrange.
Comme la terre est ronde,
comme l'eau est profonde,
comme la route est longue.
Les gens du village ne laissent pas faire
Les vauriens qui crachent devant le cimetière.
Et comme des lâches ils jettent des pierres
Sur les trains qui passent avant la frontière.
On aime son prochain, tous les dimanches matins.
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue.
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue.
Dans la grande ville le bruit du moteur
D'une chape grise étouffe nos cœurs,
Reste une valise, le regard moqueur,
Des phares qui scintillent, n'a plus de couleur.
Tout s'emballe d'un voile sale.
Le brouillard nous avale.
Le fond et la forme, déforment et défont.
De vices de forme en lames de fond
La folie des hommes chante à l'unisson,
Comme la terre est ronde,
Comme l'eau est profonde,
Comme la route est longue