Il n'aime pas nous voir jouir de nos s**es brûlants d'insouciance, ne tolère pas de plaisir qui n'aurait pas son revers de souffrance.
Sur le front des martyrs, au ventre des enfants, dans nos derniers soupirs aux couleurs de châtiments, pour se prouver qu'il existe à défaut d'être vivant, Dieu aime le sang.
Tous les carnages qu'il inspire sont comme autant d'hommages à sa puissance.
On lui doit l'air qu'on respire, la vie, l'amour et la potence.
Il sait punir les impurs tout comme les innocents, de victoires en blessures, on lui reste obéissants.
Pour se prouver qu'il existe à défaut d'être vivant, Dieu aime le sang.
Goutte après goutte, le doute s'installe, mais Dieu s'en moque, il s'en lave les mains sales.
Malheur à toi fils de c***n, si tu crois qu'il ne voit, qu'il n'entend rien, sur l'axe du mal et du bien, il reconnaîtra les siens.
S'il a fait l'homme à son image, pourquoi vouloir à tout prix l'imaginer plus solide et moins sauvage que le monstre pathétique qu'il a dessiné ?
Sur le front des martyrs, au ventre des enfants, dans nos derniers soupirs aux couleurs de châtiments, pour se prouver qu'il existe à défaut d'être vivant, Dieu aime le sang.
Tous les carnages qu'il inspire sont comme autant d'hommages à sa puissance.
On lui doit l'air qu'on respire, la vie, l'amour et la potence.
Il sait punir les impurs tout comme les innocents, de victoires en blessures, on lui reste obéissants.
Pour se prouver qu'il existe à défaut d'être vivant, Dieu aime le sang.
Goutte après goutte, le doute s'installe, mais Dieu s'en moque, il s'en lave les mains sales.
Malheur à toi fils de c***n, si tu crois qu'il ne voit, qu'il n'entend rien, sur l'axe du mal et du bien, il reconnaîtra les siens.
S'il a fait l'homme à son image, pourquoi vouloir à tout prix l'imaginer plus solide et moins sauvage que le monstre pathétique qu'il a dessiné ?