Les coups de loose, les coups de lattes
Les coups de blues ça nous blesse
Des casseroles que l'on traîne
Des wagons et des caisses
Des fardeaux qui nous freinent
Malgré le temps qui presse
Les cicatrices nous laissent seuls face à nos faiblesses
On se croyait invincible
Et le sort nous transperce
S'acharne à prendre cible
La peau la moins épaisse
Tout le monde se cache
La carapace ne laisse plus passer l'air
Nous enferme à la place
On voit déjà, là dans nos traces
Jamais rien ne s'efface
Sous le masque des lâches
Alors on déballe les armures
Et les figures de carnaval
Fabriquent une image qui rassure
Pour conjurer le mal
Roule les épaules, joue les durs
Au fond des gilets pare-balles
Au fur et à mesure
Le mépris s'installe
Regard glacé, rase les murs
Nul ne découvre la faille
Ainsi commence le jeu de la poutre et la paille
Tout le monde se cache
La carapace ne laisse plus passer l'air
Nous enferme à la place
On voit déjà, là dans nos traces
Jamais rien ne s'efface
Sous le masque des lâches
Dévoile-moi ton vrai visage
Sans fard et sans maquillage
Montre-moi ton épiderme
Je saurai si je t'aime
Ou si jamais je te hais
Piégés dans nos propres rôles
Installées dans nos protocoles
Plantés dans le sillon qu'on creuse les deux pieds dans la colle
Devine ce que dissimule
Cette parodie lourde et molle
Pèse le poids de l'imposture, posée sur nos épaules
Nous v'là beaux, costumes d'apparat, en haut des miradors
Qui se préoccupe de savoir qui a raison ou tort ?
Tous pris dans la carapace
Les coups de blues ça nous blesse
Des casseroles que l'on traîne
Des wagons et des caisses
Des fardeaux qui nous freinent
Malgré le temps qui presse
Les cicatrices nous laissent seuls face à nos faiblesses
On se croyait invincible
Et le sort nous transperce
S'acharne à prendre cible
La peau la moins épaisse
Tout le monde se cache
La carapace ne laisse plus passer l'air
Nous enferme à la place
On voit déjà, là dans nos traces
Jamais rien ne s'efface
Sous le masque des lâches
Alors on déballe les armures
Et les figures de carnaval
Fabriquent une image qui rassure
Pour conjurer le mal
Roule les épaules, joue les durs
Au fond des gilets pare-balles
Au fur et à mesure
Le mépris s'installe
Regard glacé, rase les murs
Nul ne découvre la faille
Ainsi commence le jeu de la poutre et la paille
Tout le monde se cache
La carapace ne laisse plus passer l'air
Nous enferme à la place
On voit déjà, là dans nos traces
Jamais rien ne s'efface
Sous le masque des lâches
Dévoile-moi ton vrai visage
Sans fard et sans maquillage
Montre-moi ton épiderme
Je saurai si je t'aime
Ou si jamais je te hais
Piégés dans nos propres rôles
Installées dans nos protocoles
Plantés dans le sillon qu'on creuse les deux pieds dans la colle
Devine ce que dissimule
Cette parodie lourde et molle
Pèse le poids de l'imposture, posée sur nos épaules
Nous v'là beaux, costumes d'apparat, en haut des miradors
Qui se préoccupe de savoir qui a raison ou tort ?
Tous pris dans la carapace