Regarde tomber les étoiles !
Plus un instant à laisser filer, chaque minute est comptée
Chaque halte est une insulte à la spirale qui nous avale
Rien ne s'installe à jamais, c'est mauvais de s'attacher
Sachez : la prochaine seconde est déja un autre monde en plein élan
Poussé en avant quoiqu'il advienne
Le train n'attend pas ceux qui arrivent à la traine
Le vent emmènera ce qui n'en valait pas la peine
Et balaye les marres de sang saignée au quatre veines
Regarde tomber les étoiles !
Nous voulons plus d'image, plus de mouvement de sons
Qu'on nous mente, on s'en f***
Nous voulons le frisson de l'émotion même sous la forme d'un opéra-savon
Profitons-en, pendant qu'il est temps
Nous savons qu'après la pluie viendront l'orage et les glaçons de l'hiver
C'est écrit par les sages depuis des millénaires
Sur des manuscrits jaunis oubliés sous la poussière
Que font les murs quand ils tremblent ?
On a plus qu'à se taire
Et pleurer, se terrer
Apeurés et prier
Espérer
Et rester axphyxiés
Et chacun se débat pour dévorer sa part
S'inviter au dernier festin des porcs
Avant qu'il ne soit trop tard
Avant que l'on admette enfin que'on avait tort
On a plus qu'à se taire
Et pleurer, se terrer
Apeurés et prier
Espérer
Et rester axphyxiés
Quand il ne sera plus temps de courir aussi vite
aurons-nous le pouvoir de repousser les limites ? Quand de sombres nuages obscursiront le ciel , sera t'il encore temps de songer à l'éveil ? Lorsqu'on aura sali toute l'eau des rivières , pourrons-nous encore revenir en arrière ? Quel sera notre ultime recours et vers qui se tourner pour appeller au secours ? Quel sera le poids de toute nos beau discours lorsque nos utopies seront pendues haut et court . Reste l'animal qui appel au secours , et j'appelle au secours . Suis-je donc un monatre , une rature , une erreur de la nature , le fruit trop vert ou trop mûr d'une humanite immature , une créature instable saturée de données , jetée en pâture aux valeurs d'une c**ture erronés , un être irraisonné après deux million d'années , dressé sur ses deux pieds , passées à piétiner . Deux mains faites pour construire des machines à détruire , une bouche pour mentir et appeler au secours .
Plus un instant à laisser filer, chaque minute est comptée
Chaque halte est une insulte à la spirale qui nous avale
Rien ne s'installe à jamais, c'est mauvais de s'attacher
Sachez : la prochaine seconde est déja un autre monde en plein élan
Poussé en avant quoiqu'il advienne
Le train n'attend pas ceux qui arrivent à la traine
Le vent emmènera ce qui n'en valait pas la peine
Et balaye les marres de sang saignée au quatre veines
Regarde tomber les étoiles !
Nous voulons plus d'image, plus de mouvement de sons
Qu'on nous mente, on s'en f***
Nous voulons le frisson de l'émotion même sous la forme d'un opéra-savon
Profitons-en, pendant qu'il est temps
Nous savons qu'après la pluie viendront l'orage et les glaçons de l'hiver
C'est écrit par les sages depuis des millénaires
Sur des manuscrits jaunis oubliés sous la poussière
Que font les murs quand ils tremblent ?
On a plus qu'à se taire
Et pleurer, se terrer
Apeurés et prier
Espérer
Et rester axphyxiés
Et chacun se débat pour dévorer sa part
S'inviter au dernier festin des porcs
Avant qu'il ne soit trop tard
Avant que l'on admette enfin que'on avait tort
On a plus qu'à se taire
Et pleurer, se terrer
Apeurés et prier
Espérer
Et rester axphyxiés
Quand il ne sera plus temps de courir aussi vite
aurons-nous le pouvoir de repousser les limites ? Quand de sombres nuages obscursiront le ciel , sera t'il encore temps de songer à l'éveil ? Lorsqu'on aura sali toute l'eau des rivières , pourrons-nous encore revenir en arrière ? Quel sera notre ultime recours et vers qui se tourner pour appeller au secours ? Quel sera le poids de toute nos beau discours lorsque nos utopies seront pendues haut et court . Reste l'animal qui appel au secours , et j'appelle au secours . Suis-je donc un monatre , une rature , une erreur de la nature , le fruit trop vert ou trop mûr d'une humanite immature , une créature instable saturée de données , jetée en pâture aux valeurs d'une c**ture erronés , un être irraisonné après deux million d'années , dressé sur ses deux pieds , passées à piétiner . Deux mains faites pour construire des machines à détruire , une bouche pour mentir et appeler au secours .