Chevalier de paille, ton antre te tiraille.
Aveugle de tes nuits, tu languis transi.
Sur tes robes souillées par la pluie, et tes lumières d'une envolée,
d'une marionnette en fils d'or, en filigrane, en fils, dors...
Je n'en finis plus d'écrire,
je n'en finis plus de lire,
je n'en finis plus d'écrire tes mots.
Je n'en finis plus d'écrire trois lettres au parfum sucré,
qui voguent dans mon palais...
Tes mots...
Tu déchaînes et tu attires l'orage et les fins désirs qu'une fin d'été oblige,
une faim de loup.
Des entremets délicieux qui s'envolent et se délectent,
tu es la reine des cimes, la reine des cimes.
Et si je viens te chercher, et si les nuages sont bas,
les poussières tomberont en moi, les vipères cesseront de fuir.
Cesseras-tu de courir ?
Toujours au loin ces soupirs, une vie démente qui chavire,
ta faim de loup te taraude !
Tes ardeurs au flot tiraillent des racines volées...
Et du haut, dans ton pays ravagé,
existe une page tapissée des lambeaux de paille en vrac,
disséminés aux mille vents.
Aux mille vents... Aux mille vents...
Aveugle de tes nuits, tu languis transi.
Sur tes robes souillées par la pluie, et tes lumières d'une envolée,
d'une marionnette en fils d'or, en filigrane, en fils, dors...
Je n'en finis plus d'écrire,
je n'en finis plus de lire,
je n'en finis plus d'écrire tes mots.
Je n'en finis plus d'écrire trois lettres au parfum sucré,
qui voguent dans mon palais...
Tes mots...
Tu déchaînes et tu attires l'orage et les fins désirs qu'une fin d'été oblige,
une faim de loup.
Des entremets délicieux qui s'envolent et se délectent,
tu es la reine des cimes, la reine des cimes.
Et si je viens te chercher, et si les nuages sont bas,
les poussières tomberont en moi, les vipères cesseront de fuir.
Cesseras-tu de courir ?
Toujours au loin ces soupirs, une vie démente qui chavire,
ta faim de loup te taraude !
Tes ardeurs au flot tiraillent des racines volées...
Et du haut, dans ton pays ravagé,
existe une page tapissée des lambeaux de paille en vrac,
disséminés aux mille vents.
Aux mille vents... Aux mille vents...