L'automne me semble étincelant
La mort saisirait-elle le vif
Ton corps inerte sur le divan
Me plonge dans un rêve intensif
Et je vois bleu, et je vois loin
Je cours dans un grand champ de foin
Le vent épouse mon corps nu
Mais je n'ai pas frette, l'eusses-tu cru?
L'eusses-tu cru je n'ai pas frette
Quand je suis seul dans ma tête
Je cueille des oeufs et des framboises
Que je dispose sur une chinoise
Voilà que prend fin ton sommeil
Mes yeux croisent tes billes de chouette
Et tombe mes petits fruits vermeilles
L'eusses-tu cru maintenant j'ai frette?
Et j'ai vu bleu, et j'ai vu loin
Je courais dans un grand champ de foin
Le vent reposant mon corps nu
Je n'avais pas frette, l'eusses-tu cru?
La mort saisirait-elle le vif
Ton corps inerte sur le divan
Me plonge dans un rêve intensif
Et je vois bleu, et je vois loin
Je cours dans un grand champ de foin
Le vent épouse mon corps nu
Mais je n'ai pas frette, l'eusses-tu cru?
L'eusses-tu cru je n'ai pas frette
Quand je suis seul dans ma tête
Je cueille des oeufs et des framboises
Que je dispose sur une chinoise
Voilà que prend fin ton sommeil
Mes yeux croisent tes billes de chouette
Et tombe mes petits fruits vermeilles
L'eusses-tu cru maintenant j'ai frette?
Et j'ai vu bleu, et j'ai vu loin
Je courais dans un grand champ de foin
Le vent reposant mon corps nu
Je n'avais pas frette, l'eusses-tu cru?