A ceux qui prônent le régime de la haine
Ont-ils connu la souffrance et la peine
D'avoir vécu sous l'utopie malsaine
Du moustachu que la colère entraîne ?
Alors que reste ouverte la porcherie
Déversant tout son flot de conneries
Devant des abrutis qui veulent
Que la peur dirige leur autocratie
A ceux qui prônent la maîtrise de la nation
Par le contrôle des flux d'informations
Pour des cerveaux sans volonté d'action
Société au bord de la déraison
A ceux qui prônent respect par la violence
Usant des poings et des mots avec aisance
Ses hommes ne savent pas qu'ils sont dans l'errance
Retour de flamme sera leur dernière danse
Le vent emportera ces noirs désirs
Quand le miroir dans lequel le monde se mire
Quand cette arme aux mains de tout les empires
Lach'ra comme un fil sur lequel on tire<
Abolissant le règn' de la frayeur
Et c'est grâce aux délires de ces rêveurs
Que le monde affront'ra ses dictateurs
A ceux qui prônent le règne des trafics
De la place rouge aux grandes steppes d'Afrique
L'Homme et toutes ses méprisables mimiques
Pour sans cesse avoir un peu plus de fric...
Ont-ils connu la souffrance et la peine
D'avoir vécu sous l'utopie malsaine
Du moustachu que la colère entraîne ?
Alors que reste ouverte la porcherie
Déversant tout son flot de conneries
Devant des abrutis qui veulent
Que la peur dirige leur autocratie
A ceux qui prônent la maîtrise de la nation
Par le contrôle des flux d'informations
Pour des cerveaux sans volonté d'action
Société au bord de la déraison
A ceux qui prônent respect par la violence
Usant des poings et des mots avec aisance
Ses hommes ne savent pas qu'ils sont dans l'errance
Retour de flamme sera leur dernière danse
Le vent emportera ces noirs désirs
Quand le miroir dans lequel le monde se mire
Quand cette arme aux mains de tout les empires
Lach'ra comme un fil sur lequel on tire<
Abolissant le règn' de la frayeur
Et c'est grâce aux délires de ces rêveurs
Que le monde affront'ra ses dictateurs
A ceux qui prônent le règne des trafics
De la place rouge aux grandes steppes d'Afrique
L'Homme et toutes ses méprisables mimiques
Pour sans cesse avoir un peu plus de fric...