Souviens toi, quand t'étais gosse,
Ce cousin qui t'énervait tant
C'ui qui était peigné en brosse,
Qui avait le collier de Rahan.
Tu sais, c'ui qui aimait les animaux
Qu'avait toujours l'air bien dans sa peau
Qui avait ce sourire de gros gland
Que tout l'monde trouvait si craquant.
Le cousin qu'avait toujours la côte,
Qu'avait déjà une p't**e amie
Un badge « Touche pas à mon pote »,
Et le disque pour l'Ethiopie
Qui avait fait sa communion
Qu'était bon en mathématiques
Qui avait ce sourire à la con
Que tout le monde trouvait angélique,
Celui qu'on te donnait en modèle
Quand tu avais fait une connerie.
Mais t'piquait tes sous à Noël
Que vous filaient papi et mamie.
Et profitait du chahut d'vos jeux
Pour t'coller d'véritables beignes
Puis qui t'racontait des trucs affreux
Sur ta mère pour pas qu'tu la ramènes.
Bé je suis sur que, comme moi,
Tu t'en croyais débarassé
En grandissant, tu l'avais d'moins
En moins vu, et puis oublié.
Mais voila il est revenu,
Tu l'as r'connu à la télé
L'affreux cousin faux-cul
Sous les traits de David Douillet !
C't un gars tout simple en vérité
Tous ceux qui l'connaissent vous l'diront,
Malgrès la gloire et le succès
Bé il a su rester bien con.
Il disait comme ça qu'le sport
Pour lui c'est l'école de la vie
Qu'ça rend droit heureux et fort
Et qu' il fallait tous faire comme lui.
Douillet c't un peu Berlusconi
Qui s'rait dev'nu prof de philo
Mais quand il parle d'injustice
Alors là, c'est carrement Zorro !
L'a un gros coeur de gros costaud :
Trouve qu' c'est malheureux le malheur,
C'est mère Thérésa en kimono,
Godzilla au pays des fleurs...
Il aide toujours les p't*** vieux
A traverser la chaussée,
D'ailleurs il en connait bien deux
Qui habitent vers l'Elysée.
Et qu'il veille sur eux, c'est très bien,
Ce garçon est vraiment un ange,
Dans quelques temps on espère bien
Qu'il leur portera des oranges.
Ce cousin qui t'énervait tant
C'ui qui était peigné en brosse,
Qui avait le collier de Rahan.
Tu sais, c'ui qui aimait les animaux
Qu'avait toujours l'air bien dans sa peau
Qui avait ce sourire de gros gland
Que tout l'monde trouvait si craquant.
Le cousin qu'avait toujours la côte,
Qu'avait déjà une p't**e amie
Un badge « Touche pas à mon pote »,
Et le disque pour l'Ethiopie
Qui avait fait sa communion
Qu'était bon en mathématiques
Qui avait ce sourire à la con
Que tout le monde trouvait angélique,
Celui qu'on te donnait en modèle
Quand tu avais fait une connerie.
Mais t'piquait tes sous à Noël
Que vous filaient papi et mamie.
Et profitait du chahut d'vos jeux
Pour t'coller d'véritables beignes
Puis qui t'racontait des trucs affreux
Sur ta mère pour pas qu'tu la ramènes.
Bé je suis sur que, comme moi,
Tu t'en croyais débarassé
En grandissant, tu l'avais d'moins
En moins vu, et puis oublié.
Mais voila il est revenu,
Tu l'as r'connu à la télé
L'affreux cousin faux-cul
Sous les traits de David Douillet !
C't un gars tout simple en vérité
Tous ceux qui l'connaissent vous l'diront,
Malgrès la gloire et le succès
Bé il a su rester bien con.
Il disait comme ça qu'le sport
Pour lui c'est l'école de la vie
Qu'ça rend droit heureux et fort
Et qu' il fallait tous faire comme lui.
Douillet c't un peu Berlusconi
Qui s'rait dev'nu prof de philo
Mais quand il parle d'injustice
Alors là, c'est carrement Zorro !
L'a un gros coeur de gros costaud :
Trouve qu' c'est malheureux le malheur,
C'est mère Thérésa en kimono,
Godzilla au pays des fleurs...
Il aide toujours les p't*** vieux
A traverser la chaussée,
D'ailleurs il en connait bien deux
Qui habitent vers l'Elysée.
Et qu'il veille sur eux, c'est très bien,
Ce garçon est vraiment un ange,
Dans quelques temps on espère bien
Qu'il leur portera des oranges.