hey! les ambulances ont moins de sens
dans la vie à laquelle on pense
ivre et libre, longuement
parler avec le vent
la menace est dans le temps
aux erreurs boréales
aux humeurs hivernales
là, il faudrait bien quelques joncquilles
une pensée qui nous écarquille
rentrer un peu dans le champ
les amoureux sur le banc
la menace est dans le sang
et la santé mentale
dans le sentimental
fatal
nous irons dans la forêt
dessiner des cœurs à la craie
mesurer notre chance
retrouver nos absences
étendus au pied d'un chêne
sans savoir où ça nous mène
tous ces cailloux qu'on sème
et j'ai vu couler dans la rivière
une vie moins ordinaire
avec la lune à son bord
et j'ai découché pour me déplaire
j'ai repeint mon univers
sans tenir compte des accords
des corps
et je reviens demain sur terre
pour y régler cette affaire
une vie moins ordinaire
hey! les antilopes ou la défense
quel antidote à nos offenses
rouler, vivre lentement
le sud encore plus grand
la menace est dans les rangs
serrés, le national
fait fureur, les mains sales
banal
nous, nous voudrions du zèle
nous envolez parallèles
aux tropiques se frotter
en travaillant siffloter
flottant dans nos quarantaines
sans savoir où ça nous mène
Mars ou Winston-Salem
et j'ai pêché dans le désert
une vie moins ordinaire
prisonnière de mon sort
et j'ai, j'ai survolé dans les airs
les dédales où je me perds
les pédales dans le décor
confort
et je reviens demain sur terre
pour y régler cette affaire
une vie mons ordinaire
et j'ai trouvé sous la poussière
une vie moins passagère
moins ordinaire
et j'ai vu couler dans la rivière
une vie moins ordinaire
moins ordinaire.
dans la vie à laquelle on pense
ivre et libre, longuement
parler avec le vent
la menace est dans le temps
aux erreurs boréales
aux humeurs hivernales
là, il faudrait bien quelques joncquilles
une pensée qui nous écarquille
rentrer un peu dans le champ
les amoureux sur le banc
la menace est dans le sang
et la santé mentale
dans le sentimental
fatal
nous irons dans la forêt
dessiner des cœurs à la craie
mesurer notre chance
retrouver nos absences
étendus au pied d'un chêne
sans savoir où ça nous mène
tous ces cailloux qu'on sème
et j'ai vu couler dans la rivière
une vie moins ordinaire
avec la lune à son bord
et j'ai découché pour me déplaire
j'ai repeint mon univers
sans tenir compte des accords
des corps
et je reviens demain sur terre
pour y régler cette affaire
une vie moins ordinaire
hey! les antilopes ou la défense
quel antidote à nos offenses
rouler, vivre lentement
le sud encore plus grand
la menace est dans les rangs
serrés, le national
fait fureur, les mains sales
banal
nous, nous voudrions du zèle
nous envolez parallèles
aux tropiques se frotter
en travaillant siffloter
flottant dans nos quarantaines
sans savoir où ça nous mène
Mars ou Winston-Salem
et j'ai pêché dans le désert
une vie moins ordinaire
prisonnière de mon sort
et j'ai, j'ai survolé dans les airs
les dédales où je me perds
les pédales dans le décor
confort
et je reviens demain sur terre
pour y régler cette affaire
une vie mons ordinaire
et j'ai trouvé sous la poussière
une vie moins passagère
moins ordinaire
et j'ai vu couler dans la rivière
une vie moins ordinaire
moins ordinaire.