Jerry :
Les plumes d'or scintillent autour de moi, au zénith de l'an un, jour premier. Sur l'esplanade vous saluons, nous, frondeur fédérés. Plus intense encore est l'éclat de la sueur perlant sur vos fronts levés, d'une trop ancienne gangrène désormais lavés.
Black Messiah :
Grand accusateur de l'hexagone au crépuscule du millénaire de la Rébellion, j'ai porté la blasphématrice dynamique des sons. Au front de la guerre, contre les ouailles dans leur tranchée, nous et nos chères têtes blondes leur p*****ont au visage, du toit du monde.
Jerry :
Par nos membres, elle est défaite, l'Hypocrisie gavant les oies à outrance ; dans l'entonnoir ils déversaient leur tolérance. Désormais elle leur rentre par la raie et retrouve sa place naturelle dans la fange, qui, incessamment sera foulée par nos phalanges.
Black Messiah :
Du vide informe j'ai extrait la quintessence, avec mes pairs attendant le règne de l'excellence ; et à présent un humble patriarche, j'observe la renaissance, accueillant à bras ouverts cet éminent serpent qui pénètre nos secrètes essences avec le poison séminal qui ensemence le monde.
Loïc Cellier :
En ces terres païennes j'ai cherché un écho à mon âme, par la solitude sereine et le Carnyx pour Oriflamme.
Yohan 'aktivist' :
Par ta voix c'est ma langue indocile qui claque, bien qu'elle chantait déjà quand j'errais en falot, et ainsi me sortit de mon puant cloaque. Par tes accords notre harmonie se forme ; union des frères en un commun berceau. De Scènes en Cènes alcoolisées s'éteint mon passé morne.
Loïc Cellier :
En père aimant j'ai célébré d'un c**te toujours égal ma nature celte en fer forgé, qui au pieux paraît infernale.
Mist :
Des premières ébauches de l'édifice au matin de son instauration ; j'ai œuvré ivre à sa modernisation. A coup d'algorithmes sous pression, j'en administre désormais la vitrine où, médiatiquement, la Commune se décline.
[Lyrics added by Silverat]
Les plumes d'or scintillent autour de moi, au zénith de l'an un, jour premier. Sur l'esplanade vous saluons, nous, frondeur fédérés. Plus intense encore est l'éclat de la sueur perlant sur vos fronts levés, d'une trop ancienne gangrène désormais lavés.
Black Messiah :
Grand accusateur de l'hexagone au crépuscule du millénaire de la Rébellion, j'ai porté la blasphématrice dynamique des sons. Au front de la guerre, contre les ouailles dans leur tranchée, nous et nos chères têtes blondes leur p*****ont au visage, du toit du monde.
Jerry :
Par nos membres, elle est défaite, l'Hypocrisie gavant les oies à outrance ; dans l'entonnoir ils déversaient leur tolérance. Désormais elle leur rentre par la raie et retrouve sa place naturelle dans la fange, qui, incessamment sera foulée par nos phalanges.
Black Messiah :
Du vide informe j'ai extrait la quintessence, avec mes pairs attendant le règne de l'excellence ; et à présent un humble patriarche, j'observe la renaissance, accueillant à bras ouverts cet éminent serpent qui pénètre nos secrètes essences avec le poison séminal qui ensemence le monde.
Loïc Cellier :
En ces terres païennes j'ai cherché un écho à mon âme, par la solitude sereine et le Carnyx pour Oriflamme.
Yohan 'aktivist' :
Par ta voix c'est ma langue indocile qui claque, bien qu'elle chantait déjà quand j'errais en falot, et ainsi me sortit de mon puant cloaque. Par tes accords notre harmonie se forme ; union des frères en un commun berceau. De Scènes en Cènes alcoolisées s'éteint mon passé morne.
Loïc Cellier :
En père aimant j'ai célébré d'un c**te toujours égal ma nature celte en fer forgé, qui au pieux paraît infernale.
Mist :
Des premières ébauches de l'édifice au matin de son instauration ; j'ai œuvré ivre à sa modernisation. A coup d'algorithmes sous pression, j'en administre désormais la vitrine où, médiatiquement, la Commune se décline.
[Lyrics added by Silverat]