Pour le week-end de la Pentecôte, je suis allé à la grande côte,
Me faire grâler de la tête aux pieds.
Fini le bronzage agricole, d'après qu'à la pointe espagnole,
On se fait bronzer les roubignolles.
Je m'étais jamais mis tout nu, comme ça devant des inconnus,
Y'en avait des plus moches que moi,
Et c'est ce qui m'a encouragé, alors je me suis déshabillé,
Et je suis allé me baigner.
Comme je savais pas bien nager, j'avais ma chambre à air gonflée,
Celle du tracteur qu'était usée.
Mais le courant m'a emporté, c'est un beau blond qui m'a sauvé,
Une grande folle en planche à voile.
Elle m'a dit " surtout n'ai pas peur, je marche à voile et à vapeur
Tu me fais de l'effet, j'allons surfer ".
Vous parlez si j'avais bonne mine, à poil à faire la pantomime,
A me faire draguer par un gay.
Y m'a montré la côte sauvage en long, en large, et en travers,
Pendant que je serrais les fesses.
Il a fini par me laisser sur une plage qu'avait l'air privée,
C'était le Club Méditerranée.
Mais quand y m'avant vu à poil, tout le monde est parti en courant,
Et pis moi, j'en ai fait autant.
J'ai pris la poudre d'escampette, on entendait mes coucougnettes,
En train de jouer des castagnettes.
Quand j'ai voulu me rhabiller, mes affaires avaient disparues,
Mes clefs de voiture, j'étais toujours tout nu.
J'ai fait du stop comme je pouvais, le pouce en l'air, les fesses à l'air,
Une bonne sœur s'est arrêtée.
Elle m'a emmené dans sa 2 chevaux, à l'abbaye de Sablonceaux,
Y m'avant prêté une soutane.
Je suis pas prêt d'aller me faire grâler les coucougnettes, les roubignolles,
Et vive le bronzage agricole.
Me faire grâler de la tête aux pieds.
Fini le bronzage agricole, d'après qu'à la pointe espagnole,
On se fait bronzer les roubignolles.
Je m'étais jamais mis tout nu, comme ça devant des inconnus,
Y'en avait des plus moches que moi,
Et c'est ce qui m'a encouragé, alors je me suis déshabillé,
Et je suis allé me baigner.
Comme je savais pas bien nager, j'avais ma chambre à air gonflée,
Celle du tracteur qu'était usée.
Mais le courant m'a emporté, c'est un beau blond qui m'a sauvé,
Une grande folle en planche à voile.
Elle m'a dit " surtout n'ai pas peur, je marche à voile et à vapeur
Tu me fais de l'effet, j'allons surfer ".
Vous parlez si j'avais bonne mine, à poil à faire la pantomime,
A me faire draguer par un gay.
Y m'a montré la côte sauvage en long, en large, et en travers,
Pendant que je serrais les fesses.
Il a fini par me laisser sur une plage qu'avait l'air privée,
C'était le Club Méditerranée.
Mais quand y m'avant vu à poil, tout le monde est parti en courant,
Et pis moi, j'en ai fait autant.
J'ai pris la poudre d'escampette, on entendait mes coucougnettes,
En train de jouer des castagnettes.
Quand j'ai voulu me rhabiller, mes affaires avaient disparues,
Mes clefs de voiture, j'étais toujours tout nu.
J'ai fait du stop comme je pouvais, le pouce en l'air, les fesses à l'air,
Une bonne sœur s'est arrêtée.
Elle m'a emmené dans sa 2 chevaux, à l'abbaye de Sablonceaux,
Y m'avant prêté une soutane.
Je suis pas prêt d'aller me faire grâler les coucougnettes, les roubignolles,
Et vive le bronzage agricole.