Tard
Enfant qui pleure derrière la vitre
Un père qui lui tourne le dos
Reste que le sourire qui ne s'effrite
Tout le reste est en lambeaux
Enfant de la fin de la visite
N'a plus de plan pour guérir ses maux
Une autre vie un autre site
Où il se sent de trop
Tard
Peut-être un peu sur le tard
Il ne fera jamais trop noir
Pour ne plus parler d'espoir
Il ne sera jamais trop tard
Femme qui boit, femme qui médite
N'a-t-il abusé que des mots
L'adieu sera long et pénible
Mais c'était la fois de trop
Homme qui pleure derrière la vitre
La femme qui lui tourne le dos
Reste le sourire qui ne s'éffrite
Les reste est en lambeaux
L'homme qui lui se tient la tête
Regarde tout le reste tomber
Dommage que toutes les tonnes de « je t'aime »
Ne suffisent plus à tout faire oublier
Tard
Peut-être un peu sur le tard
Il ne fera jamais trop noir
Pour ne plus parler d'espoir
Il ne sera jamais trop tard
Tard
Peut-être un peu sur le tard
Il ne fera jamais trop noir
Pour ne plus parler d'espoir
Il ne sera jamais trop tard
Il ne sera jamais trop tard
Laurence Jalbert Index
Jeter Un Sort
Hé! Est-ce que tu penses à moi ?
Moi J'ferme les yeux et tu es toujours là
«M» ma seule envie ce soir
Est de rester seul et continuer à boire
Qui est-ce qui m'a jeté un sort ?
Je perds tout ce que j'aime, même le nord
Hé! On a volé mon contrôle !
Y'a mon âme et y'a ma tête qui...
Oh ! Oh !
Hé ! y'a ma tête qui gronde
Tu ne veux plus jamais,
Non plus jamais répondre
À toutes et à chacune des fois
Une voix me dit que je ne suis plus moi
Qui est-ce qui m'a jeté un sort ?
Je perds tout ce que j'aime, même le nord
Hé ! On a volé mon contrôle !
Y'a mon corps et y'a ma tête qui...
Oh ! Oh !
Je ne veux plus m'endormir, Non ! Non ! Non ! Non ! Non !
Non ! Je ne veux plus m'endormir
Et m'éveiller sans toi
Toute ma vie dans une main
Mais l'autre est libre
Et elle me montre le chemin
Encore et toujours en quête
J'suis pas encore devenu
Ce que j'voulais être
Qui est-ce qui m'a jeté un sort ?
Je perds tout ce que j'aime, même le nord
Hé ! On a volé mon contrôle !
Y'a mon corps et y'a mon foie qui...
Oh ! Oh !
Je ne veux plus m'endormir, Non ! Non ! Non ! Non ! Non !
Non ! Je ne veux plus m'endormir
Et m'éveiller sans toi
Un sort
Qui m'a jeté un sort ?
Qui m'a jeté un sort ?
Laurence Jalbert Index
Au-Delà De L'aube
Par les collines
Par le chas d'une aiguille
Par le c***n d'un fusil
Il fallait fuir la saison citadine
Les patrons, les amis
Il fallait prendre appui sur les hauteurs des plateaux du Pays
Il fallait prendre appui sur le bonheur et trouver l'harmonie
Rendre les armes honnies
Aller au-delà de l'aube
Dévalons des vallées
Au-delà de l'aube
Par les collines
Par la revière
Par les chemins du temps
De cascades en K.O
De nos espoirs nous pourrons des printemps
Pétrir le pain nouveau
En écoutant le chant de la mésange
Ignorer l'ironie
En surveillant la marche des Oranges
Près de Londonderry
Live à la CBC
Aller à dos d'âme dondaine
Le poing serré, la gueule de bois
Aller à dos d'âme dondaine
Réinventer ce Pays-là
Il fallait prendre appui sur les hauteurs des plateaux du Pays
Pour se défendre arroser l'arroseur et tenir à la vie
Et tenir à la vie
Aller au delà de l'aube
Aller au delà de l'aube
Par les collines...
Laurence Jalbert Index
Comme Tu Me L'as Demandé
J'ai ôté de mes les bagues
Comme tu me l'as demandé
Enlevé l'éc**e à mes vagues
Comme tu me l'as demandé
J'ai jeté les fards et les crèmes
Les frusques dont je m'attifais
J'avais pris les doigts pour diadème
De tes mains qui me décoiffaient
Je me suis faite toute petite
Comme tu me l'as demandé
Tes regards furent mes pépites
Tes baisers furent mes colliers
J'ai ôté de mes yeux les masques
Comme tu me l'as demandé
Pleuré les larmes dans les vasques
Où tes statues me regardaient
On a fait l'amour devant l'âtre
Comme tu me l'as demandé
Devant des miroirs de théâtre
On jouait le plaisir aux dés
J'ai vidé toutes mes armoires
Comme tu me l'as demandé
J'ai éteint toute ma mémoire
Je ne suis plus que ton reflet
J'ai tatoué tous tes visages
À mes endroits les plus secrets
Pour que t'y boive ton image
Comme tu me l'as demandé
J'ai bouché toutes les fenêtres
Pour le soleil je l'ai chassé
Pour que toi suel tu me pénètres
Comme tu me l'as demandé
J'ai fait tout ce que tu voulais
Et plus encore
Pourquoi donc t'es-tu envolé
De tout mon corps
Tu as déraciné mes nerfs
Tu as effiloché ma chair
Je suis pire nue qu'un caillou
Rends-moi tout
J'ai tatoué tous tes visages
À mes endroits les plus secrets
Pour que t'y boive ton image
Comme tu me l'as demandé
J'ai bouché toutes les fenêtres
Pour le soleil je l'ai chassé
Pour que toi seul tu me pénètres
Comme tu me l'as demandé
Maintenant rends-moi tout
Maintenant rends-moi tout
Laurence Jalbert Index
En Partant D'ici
En partant d'ici, est-ce que j'arriverai à temps ?
Où je dois me rendre avant que la nuit s'étende ?
De tout son long sur ce que le jour me laisse
Comme il fera noir j'éteindrai mes faiblesses
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici, est-ce que j'arriverai à temps ?
Si je reste sur place je risque de voir tomber
Mes buts, mes espoirs et deux trois vieilles poupées
Protéger ma tête tout faire pour les éviter
Y'a bien raison de croire, je dois continuer
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici, est-ce que j'arriverai à temps ?
Plein de bancs alignés
Qui m'invitent à m'a**eoir
Je suis si fatiguée
Je trouve plus rien à boire
Je bois du noir
Si je pars de là-bas, je vais rater les matins
Le seul moment où je n'ai plus peur de rien
De tous les regards que moi j'ai vu défiler
Y'a juste tes yeux dont je voudrais me rappeler
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici est-ce que j'arriverai à temps ?
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici, en partant d'ici, en partant d'ici,
Est-ce que j'arriverai à temps ?
Est-ce que j'arriverai à temps ?
Est-ce que j'aurai cent ans ?
Laurence Jalbert Index
In The Twilight
Il vit en bas
Entre mer et Mississipi
Sa maison de bois
Reste allumée la nuit
Il ne dort pas
Il fait une prière à la lune
Pour qu'elle reste là
Comme un faisceau dans la brume
In the twilight
Like a blue Cypress in the twilight
In the twilight
Down in the swamp, he's livin'in the twilight
Il ne craint rien
Dans son vieil arbre creusé
Indien ou acadien
Il est roi dans le marais
Il se laisse glisser dans les bras
Des géants du bayou
Il murmure en français
Un ancien chant vaudou
In the twilight, in the twilight
Like a blue Cypress in the twilight
In the twilight, in the twilight
Down in the swamp, he's livin'in the twilight
In the twilight, in the twilight
Roots under water, he's living in the twilight
In the twilight, in the twilight
Like a blue Cypress in the twilight
In the twilight, in the twilight
Down in the swamp, he's livin'in the twilight
In the twilight, in the twilight
Roots under water, he's living in the twilight
In the twilight, in the twilight
In the twilight, in the twilight
Laurence Jalbert Index
En Silence
Tous ces mots qui sommeillent
Échoués sous un volcan
Tous ces matins sans réveil
Qui me disent je t'attends
Tous ces millions d'années
Dans l'absence de tes bras
Ceux que j'ai cru aimer
Mais qui n'étaient pas toi
Tout ce que j'imagine
Quand j'effleur ton regard
Cette étoile qui s'illumine
N'est pas le fruit du hasard
Ce que je voudrais t'offrir
Lorsque tu reviendras
C'est un ciel qui se déchire
Une foudre au fond de toi
Malgré tous mes naufrages
Sur les radeaux d'la souffrance
Il y avait ton visage
Mon ultime fulgurance
Dans le chaos de la nuit
Moi j'attends en silence
Les oiseaux du paradis
Qui me feront croire en la chance
Tout ce que j'imagine
Quand j'effleure ton regard
Cette étoile qui s'illumine
N'est pas le fruit du hasard
Ce que je voudrais t'offrir
Lorsque tu reviendras
C'est un ciel qui se déchire
Une foudre au fond de toi
Tout ce que j'imagine
Quand j'effleure ton regard
Cette étoile qui s'illumine
N'est pas le fruit du hasard
Ce que je voudrais t'offrir
Lorsque tu reviendras
C'est un ciel qui se déchire
Une foudre au fond de toi
Laurence Jalbert Index
Ton Habitude
J'ai l'habitude de tous ces soirs
Où j'vois plus l'heure de m'endormir
Même si je sais que tôt ou tard
Ça finira par me détruire
Les yeux fermés, je fais le jour
Sur mes jours à moitié trop courts
En espérant que la lumière
Saura m'faire oublierla terre
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle que retient
L'écho de ton corps
Dans le mien
J'ai l'habitude de ces matins
Où tes mains m'attachaient au lit
Comme un trop plein de jalousie
Comme si ma vie c'était ta vie
Infiniment tu étais là
Ange ou démon de tout ce temps
Dans l'éternité de tes bras
L'amour n'est-il qu'un seul instant ?
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle qui retient toutes mes chaleurs mes bruits de coeur
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle qui retient
L'écho de ton corps
Dans le mien
J'ai l'habitude de tous ces mots
Entremêlés d'eau et de feu
De ces frissons à fleur de peau
De ces cris menant aux aveux
S'il fallait que la vie m'arrache
Le goût de vivre ton habitude
Que plus rien de toi ne m'attache
S'il fallait qu'un jour
La solitude
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle qui retient
L'écho de ton corps
Dans le mien
Enfant qui pleure derrière la vitre
Un père qui lui tourne le dos
Reste que le sourire qui ne s'effrite
Tout le reste est en lambeaux
Enfant de la fin de la visite
N'a plus de plan pour guérir ses maux
Une autre vie un autre site
Où il se sent de trop
Tard
Peut-être un peu sur le tard
Il ne fera jamais trop noir
Pour ne plus parler d'espoir
Il ne sera jamais trop tard
Femme qui boit, femme qui médite
N'a-t-il abusé que des mots
L'adieu sera long et pénible
Mais c'était la fois de trop
Homme qui pleure derrière la vitre
La femme qui lui tourne le dos
Reste le sourire qui ne s'éffrite
Les reste est en lambeaux
L'homme qui lui se tient la tête
Regarde tout le reste tomber
Dommage que toutes les tonnes de « je t'aime »
Ne suffisent plus à tout faire oublier
Tard
Peut-être un peu sur le tard
Il ne fera jamais trop noir
Pour ne plus parler d'espoir
Il ne sera jamais trop tard
Tard
Peut-être un peu sur le tard
Il ne fera jamais trop noir
Pour ne plus parler d'espoir
Il ne sera jamais trop tard
Il ne sera jamais trop tard
Laurence Jalbert Index
Jeter Un Sort
Hé! Est-ce que tu penses à moi ?
Moi J'ferme les yeux et tu es toujours là
«M» ma seule envie ce soir
Est de rester seul et continuer à boire
Qui est-ce qui m'a jeté un sort ?
Je perds tout ce que j'aime, même le nord
Hé! On a volé mon contrôle !
Y'a mon âme et y'a ma tête qui...
Oh ! Oh !
Hé ! y'a ma tête qui gronde
Tu ne veux plus jamais,
Non plus jamais répondre
À toutes et à chacune des fois
Une voix me dit que je ne suis plus moi
Qui est-ce qui m'a jeté un sort ?
Je perds tout ce que j'aime, même le nord
Hé ! On a volé mon contrôle !
Y'a mon corps et y'a ma tête qui...
Oh ! Oh !
Je ne veux plus m'endormir, Non ! Non ! Non ! Non ! Non !
Non ! Je ne veux plus m'endormir
Et m'éveiller sans toi
Toute ma vie dans une main
Mais l'autre est libre
Et elle me montre le chemin
Encore et toujours en quête
J'suis pas encore devenu
Ce que j'voulais être
Qui est-ce qui m'a jeté un sort ?
Je perds tout ce que j'aime, même le nord
Hé ! On a volé mon contrôle !
Y'a mon corps et y'a mon foie qui...
Oh ! Oh !
Je ne veux plus m'endormir, Non ! Non ! Non ! Non ! Non !
Non ! Je ne veux plus m'endormir
Et m'éveiller sans toi
Un sort
Qui m'a jeté un sort ?
Qui m'a jeté un sort ?
Laurence Jalbert Index
Au-Delà De L'aube
Par les collines
Par le chas d'une aiguille
Par le c***n d'un fusil
Il fallait fuir la saison citadine
Les patrons, les amis
Il fallait prendre appui sur les hauteurs des plateaux du Pays
Il fallait prendre appui sur le bonheur et trouver l'harmonie
Rendre les armes honnies
Aller au-delà de l'aube
Dévalons des vallées
Au-delà de l'aube
Par les collines
Par la revière
Par les chemins du temps
De cascades en K.O
De nos espoirs nous pourrons des printemps
Pétrir le pain nouveau
En écoutant le chant de la mésange
Ignorer l'ironie
En surveillant la marche des Oranges
Près de Londonderry
Live à la CBC
Aller à dos d'âme dondaine
Le poing serré, la gueule de bois
Aller à dos d'âme dondaine
Réinventer ce Pays-là
Il fallait prendre appui sur les hauteurs des plateaux du Pays
Pour se défendre arroser l'arroseur et tenir à la vie
Et tenir à la vie
Aller au delà de l'aube
Aller au delà de l'aube
Par les collines...
Laurence Jalbert Index
Comme Tu Me L'as Demandé
J'ai ôté de mes les bagues
Comme tu me l'as demandé
Enlevé l'éc**e à mes vagues
Comme tu me l'as demandé
J'ai jeté les fards et les crèmes
Les frusques dont je m'attifais
J'avais pris les doigts pour diadème
De tes mains qui me décoiffaient
Je me suis faite toute petite
Comme tu me l'as demandé
Tes regards furent mes pépites
Tes baisers furent mes colliers
J'ai ôté de mes yeux les masques
Comme tu me l'as demandé
Pleuré les larmes dans les vasques
Où tes statues me regardaient
On a fait l'amour devant l'âtre
Comme tu me l'as demandé
Devant des miroirs de théâtre
On jouait le plaisir aux dés
J'ai vidé toutes mes armoires
Comme tu me l'as demandé
J'ai éteint toute ma mémoire
Je ne suis plus que ton reflet
J'ai tatoué tous tes visages
À mes endroits les plus secrets
Pour que t'y boive ton image
Comme tu me l'as demandé
J'ai bouché toutes les fenêtres
Pour le soleil je l'ai chassé
Pour que toi suel tu me pénètres
Comme tu me l'as demandé
J'ai fait tout ce que tu voulais
Et plus encore
Pourquoi donc t'es-tu envolé
De tout mon corps
Tu as déraciné mes nerfs
Tu as effiloché ma chair
Je suis pire nue qu'un caillou
Rends-moi tout
J'ai tatoué tous tes visages
À mes endroits les plus secrets
Pour que t'y boive ton image
Comme tu me l'as demandé
J'ai bouché toutes les fenêtres
Pour le soleil je l'ai chassé
Pour que toi seul tu me pénètres
Comme tu me l'as demandé
Maintenant rends-moi tout
Maintenant rends-moi tout
Laurence Jalbert Index
En Partant D'ici
En partant d'ici, est-ce que j'arriverai à temps ?
Où je dois me rendre avant que la nuit s'étende ?
De tout son long sur ce que le jour me laisse
Comme il fera noir j'éteindrai mes faiblesses
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici, est-ce que j'arriverai à temps ?
Si je reste sur place je risque de voir tomber
Mes buts, mes espoirs et deux trois vieilles poupées
Protéger ma tête tout faire pour les éviter
Y'a bien raison de croire, je dois continuer
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici, est-ce que j'arriverai à temps ?
Plein de bancs alignés
Qui m'invitent à m'a**eoir
Je suis si fatiguée
Je trouve plus rien à boire
Je bois du noir
Si je pars de là-bas, je vais rater les matins
Le seul moment où je n'ai plus peur de rien
De tous les regards que moi j'ai vu défiler
Y'a juste tes yeux dont je voudrais me rappeler
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici est-ce que j'arriverai à temps ?
Mais je parle trop peut-être que je n'aurai plus l'temps
En partant d'ici, en partant d'ici, en partant d'ici,
Est-ce que j'arriverai à temps ?
Est-ce que j'arriverai à temps ?
Est-ce que j'aurai cent ans ?
Laurence Jalbert Index
In The Twilight
Il vit en bas
Entre mer et Mississipi
Sa maison de bois
Reste allumée la nuit
Il ne dort pas
Il fait une prière à la lune
Pour qu'elle reste là
Comme un faisceau dans la brume
In the twilight
Like a blue Cypress in the twilight
In the twilight
Down in the swamp, he's livin'in the twilight
Il ne craint rien
Dans son vieil arbre creusé
Indien ou acadien
Il est roi dans le marais
Il se laisse glisser dans les bras
Des géants du bayou
Il murmure en français
Un ancien chant vaudou
In the twilight, in the twilight
Like a blue Cypress in the twilight
In the twilight, in the twilight
Down in the swamp, he's livin'in the twilight
In the twilight, in the twilight
Roots under water, he's living in the twilight
In the twilight, in the twilight
Like a blue Cypress in the twilight
In the twilight, in the twilight
Down in the swamp, he's livin'in the twilight
In the twilight, in the twilight
Roots under water, he's living in the twilight
In the twilight, in the twilight
In the twilight, in the twilight
Laurence Jalbert Index
En Silence
Tous ces mots qui sommeillent
Échoués sous un volcan
Tous ces matins sans réveil
Qui me disent je t'attends
Tous ces millions d'années
Dans l'absence de tes bras
Ceux que j'ai cru aimer
Mais qui n'étaient pas toi
Tout ce que j'imagine
Quand j'effleur ton regard
Cette étoile qui s'illumine
N'est pas le fruit du hasard
Ce que je voudrais t'offrir
Lorsque tu reviendras
C'est un ciel qui se déchire
Une foudre au fond de toi
Malgré tous mes naufrages
Sur les radeaux d'la souffrance
Il y avait ton visage
Mon ultime fulgurance
Dans le chaos de la nuit
Moi j'attends en silence
Les oiseaux du paradis
Qui me feront croire en la chance
Tout ce que j'imagine
Quand j'effleure ton regard
Cette étoile qui s'illumine
N'est pas le fruit du hasard
Ce que je voudrais t'offrir
Lorsque tu reviendras
C'est un ciel qui se déchire
Une foudre au fond de toi
Tout ce que j'imagine
Quand j'effleure ton regard
Cette étoile qui s'illumine
N'est pas le fruit du hasard
Ce que je voudrais t'offrir
Lorsque tu reviendras
C'est un ciel qui se déchire
Une foudre au fond de toi
Laurence Jalbert Index
Ton Habitude
J'ai l'habitude de tous ces soirs
Où j'vois plus l'heure de m'endormir
Même si je sais que tôt ou tard
Ça finira par me détruire
Les yeux fermés, je fais le jour
Sur mes jours à moitié trop courts
En espérant que la lumière
Saura m'faire oublierla terre
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle que retient
L'écho de ton corps
Dans le mien
J'ai l'habitude de ces matins
Où tes mains m'attachaient au lit
Comme un trop plein de jalousie
Comme si ma vie c'était ta vie
Infiniment tu étais là
Ange ou démon de tout ce temps
Dans l'éternité de tes bras
L'amour n'est-il qu'un seul instant ?
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle qui retient toutes mes chaleurs mes bruits de coeur
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle qui retient
L'écho de ton corps
Dans le mien
J'ai l'habitude de tous ces mots
Entremêlés d'eau et de feu
De ces frissons à fleur de peau
De ces cris menant aux aveux
S'il fallait que la vie m'arrache
Le goût de vivre ton habitude
Que plus rien de toi ne m'attache
S'il fallait qu'un jour
La solitude
C'est bien toi
C'est bien comme ça
C'est bien toi
C'est bien comme ça
Ton habitude celle qui retient
L'écho de ton corps
Dans le mien