Qu' as-tu a m'dire d'positif sur la France et son passé d'colon
Autant p***** dans un violon , ne pense pas émotive sur la question
En oubliant d'dire merci pour l'abolition , délicate attention
J'ai du laissé mon histoire dans le noir , a la gloire de l'homme et sa
furie , de sa barbarie
Entre carnages et tueries il n'y avait pas qu'l'or et le curie
Peu tu entendre la douleur murmurer.
Quel espèce s'ra pas emmurer dans l'oublie?
Jamais a l'abris , tellement d'négro qu on déjà viré au gris
A les voir plier aux caprices d'une patrie
Qui nous a laissé tellement d'cicatrices
Que veut tu que j'retienne de cette haine des chaînes ,
Et de tout c'qu ils ont violemment injecté dans mes gènes
Depuis l'vole organisé qui s'opère sur nos terres
Ou on poussé les palaces et les pistes d'hélicoptère
On me demandera d'me taire , avec pour seule critère la servitude
héréditaire
J'te jure ils ont greffé l'négre a la misère ,
Du fouet du propriétaire au fusil du militaire .
Qu'a tu as dire si ce n'est qu'ils savent mentir
Sur des années entière de travail pour nous anéantir
Pire encore pour qu'on oublie les massacres
qu'on en perde sont créole et se cherche des reflets nacres
Putain d'simulacre , m'évoque la triste époque
des premiers violes et des premiers mulâtres
Le mépris n'allant pas tant , c'était le sous-propri du sang
2 million d'hommes embrassant la mort en passant
Qu'a tu a dire a ces corps pris pour chair a canon
A ces d***és d'la terre chère a France Fanon
Des champs d'coton au ghetto a fond d'cale du bateau
Depuis l'temps qu'ont nous enfonce la même lame de couteau
Au grand regret du temps de l'île et colonies ,
De leurs p***** d'hégémonie sur mon ethnie
Garder la mais mise sur nos sol dépendance et dictature
S'n'est pas qu'une mauvaise lecture
Mais est-ce vraiment écrit ? Pour nous enseigner l'essentiel
Pour que chaque plaies s'ouvrent et viennent tacher leurs ciels
Pour nous reconstruire ou pour nous maintenir dans l'chaos
Voir où nous reconduire à la frontière et puis tchao
Refrain : x2
C'est ma nature morte , mes douleurs fortes ,
qui de Guadeloupe a gore se glissent sous leur portes
Nature morte et douleurs fortes
Nature morte et douleurs fortes
Autant p***** dans un violon , ne pense pas émotive sur la question
En oubliant d'dire merci pour l'abolition , délicate attention
J'ai du laissé mon histoire dans le noir , a la gloire de l'homme et sa
furie , de sa barbarie
Entre carnages et tueries il n'y avait pas qu'l'or et le curie
Peu tu entendre la douleur murmurer.
Quel espèce s'ra pas emmurer dans l'oublie?
Jamais a l'abris , tellement d'négro qu on déjà viré au gris
A les voir plier aux caprices d'une patrie
Qui nous a laissé tellement d'cicatrices
Que veut tu que j'retienne de cette haine des chaînes ,
Et de tout c'qu ils ont violemment injecté dans mes gènes
Depuis l'vole organisé qui s'opère sur nos terres
Ou on poussé les palaces et les pistes d'hélicoptère
On me demandera d'me taire , avec pour seule critère la servitude
héréditaire
J'te jure ils ont greffé l'négre a la misère ,
Du fouet du propriétaire au fusil du militaire .
Qu'a tu as dire si ce n'est qu'ils savent mentir
Sur des années entière de travail pour nous anéantir
Pire encore pour qu'on oublie les massacres
qu'on en perde sont créole et se cherche des reflets nacres
Putain d'simulacre , m'évoque la triste époque
des premiers violes et des premiers mulâtres
Le mépris n'allant pas tant , c'était le sous-propri du sang
2 million d'hommes embrassant la mort en passant
Qu'a tu a dire a ces corps pris pour chair a canon
A ces d***és d'la terre chère a France Fanon
Des champs d'coton au ghetto a fond d'cale du bateau
Depuis l'temps qu'ont nous enfonce la même lame de couteau
Au grand regret du temps de l'île et colonies ,
De leurs p***** d'hégémonie sur mon ethnie
Garder la mais mise sur nos sol dépendance et dictature
S'n'est pas qu'une mauvaise lecture
Mais est-ce vraiment écrit ? Pour nous enseigner l'essentiel
Pour que chaque plaies s'ouvrent et viennent tacher leurs ciels
Pour nous reconstruire ou pour nous maintenir dans l'chaos
Voir où nous reconduire à la frontière et puis tchao
Refrain : x2
C'est ma nature morte , mes douleurs fortes ,
qui de Guadeloupe a gore se glissent sous leur portes
Nature morte et douleurs fortes
Nature morte et douleurs fortes