La Rumeur, deuxième saison, pour un p***** de regain de tension, attention !
J'arrive dans ce métier avec toute ma tête, premier maxi l'horloge s'arrête en 1997. Je suis un de ces mecs de cette génération pas encore corrompue par le biffeton. Quitte à faire de l'argent sale plutôt que du commercial, en sachant bien où les deux te mènent, nulle part si ce n'est au chtar, tu connais par cœur la rengaine. Parole d'un caïd du milieu rap, mon écriture colle à la réalité, mon style est difficile à capter comme mon vice, facile de s'adapter au beau milieu des novices. Tu me diras on fait tomber les euros à notre manière, c'est-à-dire en silence comme des gangsters. Retiens bien ce que je te dis, pas besoin que je simplifie. On scrute le s*****z de la lunette d'un famas, s'attire les foudres de la censure, c'est comme ça qu'on ramasse. Et si y'en a que ça gêne, c'est qu'ils sucent vulgairement, parce qu'il paraît que c'est dans l'air du temps. C'est le monde à l'envers, même les pires "you-voi" deviennent des suceuses de première. Putain, c'est le monde à l'envers, comme ça part en c*******
et c'est pas le moment de venir nous chercher des embrouilles. La politique ou le nerf de la guerre du fric ne m'intéresse pas de loin ; cependant, je reste un africain, armé jusqu'aux dents et il n'y a rien de mesquin là-dedans. Détrompe-toi car trop de savoir est dangereux, tu n'imagines même pas mec, aucun contrat à l'air libre quand tellement de frères galèrent pour trouver une distrib. Personne ne nous dicte notre conduite, ni les grosses radios ni les autres blaireaux accrochés à leur b***. Tu peux parler de La Rumeur avec un air dégoûté, c'est que quelque part, elle dit la vérité et toutes les clés en mains pour que l'émeute parte de ce côté de la carte en 2004.
J'arrive dans ce métier avec toute ma tête, premier maxi l'horloge s'arrête en 1997. Je suis un de ces mecs de cette génération pas encore corrompue par le biffeton. Quitte à faire de l'argent sale plutôt que du commercial, en sachant bien où les deux te mènent, nulle part si ce n'est au chtar, tu connais par cœur la rengaine. Parole d'un caïd du milieu rap, mon écriture colle à la réalité, mon style est difficile à capter comme mon vice, facile de s'adapter au beau milieu des novices. Tu me diras on fait tomber les euros à notre manière, c'est-à-dire en silence comme des gangsters. Retiens bien ce que je te dis, pas besoin que je simplifie. On scrute le s*****z de la lunette d'un famas, s'attire les foudres de la censure, c'est comme ça qu'on ramasse. Et si y'en a que ça gêne, c'est qu'ils sucent vulgairement, parce qu'il paraît que c'est dans l'air du temps. C'est le monde à l'envers, même les pires "you-voi" deviennent des suceuses de première. Putain, c'est le monde à l'envers, comme ça part en c*******
et c'est pas le moment de venir nous chercher des embrouilles. La politique ou le nerf de la guerre du fric ne m'intéresse pas de loin ; cependant, je reste un africain, armé jusqu'aux dents et il n'y a rien de mesquin là-dedans. Détrompe-toi car trop de savoir est dangereux, tu n'imagines même pas mec, aucun contrat à l'air libre quand tellement de frères galèrent pour trouver une distrib. Personne ne nous dicte notre conduite, ni les grosses radios ni les autres blaireaux accrochés à leur b***. Tu peux parler de La Rumeur avec un air dégoûté, c'est que quelque part, elle dit la vérité et toutes les clés en mains pour que l'émeute parte de ce côté de la carte en 2004.