Dira t'on encore "je n'croyais pas
Que pouvait compter ma voix" ?
Dira t'on encore "je n'croyais pas
Que ma voix défendait mes droits" ?
Dira t'on encore "je n'croyais pas
Que ce droit était devoir" ?
Encore et encore, les revoilà
Et parfois c'est déjà trop tard !
Faut dire qu'ils viennent comme on hante des murs ?
50 ans a peine, déjà ils se fissurent
Et se font les chants de la haine
Les cancans les plus obscurs
Au nom du sang, en rengaine
Les slogans ne sont plus murmures
Par cieux et monts les vieux démons nous observent
Des catacombes à l'ombre de nos pas
Et si dans l'homme, un con dort, de sa réserve
Si il en sort, des condors il sera le repas
Qu'on ne les voit pas, ils sont là
Qu'on ne les voit pas, ils sont là
Planent et tombent sur la proie
Diront ils encore "je n'croyais pas
Qu'ils allaient salir l'histoire" ?
Diront ils encore "je n'croyais pas
Qu'on ouvrait la boite de Pandore" ?
Diront ils encore "je n'croyais pas
Qu'ils rêveraient d'ire et de gloire" ?
Encore et encore, on en est là
Savent-ils pourquoi autant sont morts ?
Faut-il qu'ils viennent comme on traîne une blessure ?
La plaie ouverte à peine que les hyènes accoururent
Les diseurs de bon aventure
Les bonimenteurs obscènes
Qui rassérènent et rassurent
Les bonnes gens de bonne graine
Faut-il qu'on ait la gueule dessus
Pour qu'on sente ce qu'est l'extrême ?
Faut-il rependre les pendus
Pour finalement qu'on comprenne
Que la liberté est un dû
Et que ça vaut bien la peine
D'honorer ceux qui l'ont voulu
Contre ceux qui le gangrènent ?
Diront on un jour "je n'pensais pas
Mais on pensait pour moi" ?
Diront ils un jour "je n'croyais pas" ?
Diront ils un jour "je n'croyais pas" ?
Que pouvait compter ma voix" ?
Dira t'on encore "je n'croyais pas
Que ma voix défendait mes droits" ?
Dira t'on encore "je n'croyais pas
Que ce droit était devoir" ?
Encore et encore, les revoilà
Et parfois c'est déjà trop tard !
Faut dire qu'ils viennent comme on hante des murs ?
50 ans a peine, déjà ils se fissurent
Et se font les chants de la haine
Les cancans les plus obscurs
Au nom du sang, en rengaine
Les slogans ne sont plus murmures
Par cieux et monts les vieux démons nous observent
Des catacombes à l'ombre de nos pas
Et si dans l'homme, un con dort, de sa réserve
Si il en sort, des condors il sera le repas
Qu'on ne les voit pas, ils sont là
Qu'on ne les voit pas, ils sont là
Planent et tombent sur la proie
Diront ils encore "je n'croyais pas
Qu'ils allaient salir l'histoire" ?
Diront ils encore "je n'croyais pas
Qu'on ouvrait la boite de Pandore" ?
Diront ils encore "je n'croyais pas
Qu'ils rêveraient d'ire et de gloire" ?
Encore et encore, on en est là
Savent-ils pourquoi autant sont morts ?
Faut-il qu'ils viennent comme on traîne une blessure ?
La plaie ouverte à peine que les hyènes accoururent
Les diseurs de bon aventure
Les bonimenteurs obscènes
Qui rassérènent et rassurent
Les bonnes gens de bonne graine
Faut-il qu'on ait la gueule dessus
Pour qu'on sente ce qu'est l'extrême ?
Faut-il rependre les pendus
Pour finalement qu'on comprenne
Que la liberté est un dû
Et que ça vaut bien la peine
D'honorer ceux qui l'ont voulu
Contre ceux qui le gangrènent ?
Diront on un jour "je n'pensais pas
Mais on pensait pour moi" ?
Diront ils un jour "je n'croyais pas" ?
Diront ils un jour "je n'croyais pas" ?