Lyrics to Dernier Train :
J'ai l'arrogance de l'autodidacte qui a tout appris seul. Décidément je me plais.
Ne m'embarrasse pas avec tes questions à la con.
J'ai les plaques diplomatiques et les body vibes dans le coffre de l'Audi (mat).
Micro basique pour les copycats, narcoleptique,
Un arc-en-ciel dans les yeux, c'est gravement clair.
Non comestible à part entière. J'anesthésie donc la gangrène.
Traite-la de pute et c'est là qu'elle ... « cesse donc de te plaindre »
Ne prends pas l'express et rate le train. Etc quand je braque le plein.
Siphonneur d'essence perplexe et brave, alors passe le joint, c'est très aimable.
De l'encre, hier, a coulé sur mes mains. Je laisse mes remords dans les cendriers.
Les (bas) sur le visage en disent long, et c'est un silence grave qui t'inonde.
Refrain :
Cesse donc de te plaindre. Prends le dernier train...
Quand je gère des tain'p. Expérience de dingue. Cesse donc de te plaindre
Immondices, et bilan, nous, on nie l'envie de vivre en vous.
Je crie mon hymne en pliant tout. Identifiant 1000 embrouilles
Tu vises dans l'mille, c'est pire que tout. Cesse de te plaindre (... )
Pour la ménopause. Ancienne tout comme les maisons closes.
J'ai cédé au rap une grande partie d'mes nuits.
Tu nuis en grande partie au rap par tes cd
Je n'rêve pas qu'pour moi ce soit homard et Ha mmer.
Amer est mon art face aux connards et suckers
Pour savoir c'que j'kiffe rapproche Donna et Summer
Ta musique de tante, Rumsfeld Donald et Trump
J'suis un galérien il parait. On m'a dit qu'cette meuf était forte sur l'homme
Comme Valérien Ismaël. Une véritable Lolipop avec un joli top
Moi évidemment polyglotte, omnivore. Elle était puéricultrice, j'étais c**tivateur.
Bouillon de c**ture semblait modérateur. Très motivé, sure, elle m'fixe un ultimatum.
Je n'suis jamais (clean), mais je suis l'unique acteur.
Mon pote, septique, pense que sa meuf n'est qu'une pétasse.
(chilté) donc à l'indien, je n't'achèterais qu'une pédale.
C'est du travail d'arabe, et de têtes de nègre, forts comme des turcs avec des bêtes de textes
Refrain
Bizarre sont ces keums sous une carcasse de femme,
Ou cette star dépressive sous une cuirasse de (fête)
Mais c'est sympathique avec cette lymphatique averse.
Je n'suis ni sudiste, ni bouddhiste, ni nudiste, ni ludique, qui plus est immunisé en vrai érudit.
Nous arrivons à plaire sans thème particulier.
Nous pouvons vous former comme à Clairefontaine
C'est comme un job que t'exerce en automate
Western, spaghetti et sauce tomate indissociables. Au total c'est colossal.
c***tail Molotov dans l'œsophage. Hotel, maison close, cauchemar pour l'odorat
Artificiel, placebo, placez d'autres intelligences a**ez glauques.
Magnétoscope et les bandes () élégante anémone, pas les bonnes poses et les gants
Fallait l'or, pas les roses (choisies) des plans. Vous parlez trop !
C'est un décor pliable, à l'envers, dans tout les sens
Pour des candidats allant vers la quintessence.
Pour des bandes rivales parlant d'herbe et d'a***nal
Pour une querelle tribale, à l'ancienne, c'est pardonnable...
J'ai l'arrogance de l'autodidacte qui a tout appris seul. Décidément je me plais.
Ne m'embarrasse pas avec tes questions à la con.
J'ai les plaques diplomatiques et les body vibes dans le coffre de l'Audi (mat).
Micro basique pour les copycats, narcoleptique,
Un arc-en-ciel dans les yeux, c'est gravement clair.
Non comestible à part entière. J'anesthésie donc la gangrène.
Traite-la de pute et c'est là qu'elle ... « cesse donc de te plaindre »
Ne prends pas l'express et rate le train. Etc quand je braque le plein.
Siphonneur d'essence perplexe et brave, alors passe le joint, c'est très aimable.
De l'encre, hier, a coulé sur mes mains. Je laisse mes remords dans les cendriers.
Les (bas) sur le visage en disent long, et c'est un silence grave qui t'inonde.
Refrain :
Cesse donc de te plaindre. Prends le dernier train...
Quand je gère des tain'p. Expérience de dingue. Cesse donc de te plaindre
Immondices, et bilan, nous, on nie l'envie de vivre en vous.
Je crie mon hymne en pliant tout. Identifiant 1000 embrouilles
Tu vises dans l'mille, c'est pire que tout. Cesse de te plaindre (... )
Pour la ménopause. Ancienne tout comme les maisons closes.
J'ai cédé au rap une grande partie d'mes nuits.
Tu nuis en grande partie au rap par tes cd
Je n'rêve pas qu'pour moi ce soit homard et Ha mmer.
Amer est mon art face aux connards et suckers
Pour savoir c'que j'kiffe rapproche Donna et Summer
Ta musique de tante, Rumsfeld Donald et Trump
J'suis un galérien il parait. On m'a dit qu'cette meuf était forte sur l'homme
Comme Valérien Ismaël. Une véritable Lolipop avec un joli top
Moi évidemment polyglotte, omnivore. Elle était puéricultrice, j'étais c**tivateur.
Bouillon de c**ture semblait modérateur. Très motivé, sure, elle m'fixe un ultimatum.
Je n'suis jamais (clean), mais je suis l'unique acteur.
Mon pote, septique, pense que sa meuf n'est qu'une pétasse.
(chilté) donc à l'indien, je n't'achèterais qu'une pédale.
C'est du travail d'arabe, et de têtes de nègre, forts comme des turcs avec des bêtes de textes
Refrain
Bizarre sont ces keums sous une carcasse de femme,
Ou cette star dépressive sous une cuirasse de (fête)
Mais c'est sympathique avec cette lymphatique averse.
Je n'suis ni sudiste, ni bouddhiste, ni nudiste, ni ludique, qui plus est immunisé en vrai érudit.
Nous arrivons à plaire sans thème particulier.
Nous pouvons vous former comme à Clairefontaine
C'est comme un job que t'exerce en automate
Western, spaghetti et sauce tomate indissociables. Au total c'est colossal.
c***tail Molotov dans l'œsophage. Hotel, maison close, cauchemar pour l'odorat
Artificiel, placebo, placez d'autres intelligences a**ez glauques.
Magnétoscope et les bandes () élégante anémone, pas les bonnes poses et les gants
Fallait l'or, pas les roses (choisies) des plans. Vous parlez trop !
C'est un décor pliable, à l'envers, dans tout les sens
Pour des candidats allant vers la quintessence.
Pour des bandes rivales parlant d'herbe et d'a***nal
Pour une querelle tribale, à l'ancienne, c'est pardonnable...