Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
Cet oiseau de passage qui chante et qui est sourd,
Devient l'espoir d'orage pour te parler d'amour,
Ce brillant dans tes yeux que t'allumes parfois,
Pour un rien, pour un jeu, ou que j'allume moi,
Ces femmes qui te marque/maque d'un mouvement de hanche
Parce qu'elles ont lu dimanche, écrit dans leur zodiaque
La nuit des bleu pétrole qu'on passent aux avoeux
Ces filles dont les feux ne brûlent qu'à l'alcool
Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
Les parfums de l'été que tu cherches dans la rue,
Comme un refrain perdu que tu veux retrouver,
Tous ces rouges carmins sur des lèvres gourmandes,
Quand les miennes ne commandent que des baisés copains,
Les regards amoureux de tes vieilles idylles,
Quand elles mendient tes yeux d'un battement de cil,
La foule qui n'a pas vu que tu tenais ma main,
Et qui me met à nu quand elle t'emporte au loin.
Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
............
Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
Ouvre ton esprit muscial !
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
Cet oiseau de passage qui chante et qui est sourd,
Devient l'espoir d'orage pour te parler d'amour,
Ce brillant dans tes yeux que t'allumes parfois,
Pour un rien, pour un jeu, ou que j'allume moi,
Ces femmes qui te marque/maque d'un mouvement de hanche
Parce qu'elles ont lu dimanche, écrit dans leur zodiaque
La nuit des bleu pétrole qu'on passent aux avoeux
Ces filles dont les feux ne brûlent qu'à l'alcool
Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
Les parfums de l'été que tu cherches dans la rue,
Comme un refrain perdu que tu veux retrouver,
Tous ces rouges carmins sur des lèvres gourmandes,
Quand les miennes ne commandent que des baisés copains,
Les regards amoureux de tes vieilles idylles,
Quand elles mendient tes yeux d'un battement de cil,
La foule qui n'a pas vu que tu tenais ma main,
Et qui me met à nu quand elle t'emporte au loin.
Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
............
Jalouse, jalouse
Des fleurs et du vent,
Des danses Andalouses et des goëlands,
Jalouse, jalouse
Comme les enfants,
De ce qui me prend ton corps un instant.
Ouvre ton esprit muscial !