J'interviens comme un non sens dans les cellules en France,
apporte un dense relent d'excitation pour les nations.
Villes, haine et passion, amour et peines au sein des stations
où seule la raison y voit que nos cœurs brûlent dans nos tentations.
Obsessions, le monde, nos rêves, voix castrées.
Ainsi frustré, au coin d'une pièce je reste prostré.
Avis à tous, ma vie est donnée à vous tous,
à qui voudrait changer le monde ; oui à vous tous.
Dieu écrit des feuilles où sont nos vies,
efface et laisse l'histoire progresser lentement et raye ses essais lents.
Nonchalant, derrière des feuilles de vie,
Il persévère à faire de nos cœurs des zones désertées par l'amour où seuls les pleurs restent,
demeurent, teste, nos vies des testes et pour Lui qu'est-ce que l'être ?
Une feuille peu marquée noircit par des lettres.
Il nous observe, joue avec nous, de vulgaires pantins,
et fait d'ici un monde incertain.
Observe le monde, dis-moi qu'est-ce que tu crois ?
Dieu s'amuse sur ses feuilles avec toi.
Dieu s'amuse sur ses feuilles avec toi.
Dieu s'amuse sur ses feuilles avec...
Refrain :
Parce que la vie est faite ainsi, Tout est écrit, Dieu nous berne
Parce que nos vies sont faites ainsi, Tout est écrit, haut dans le ciel
Ma vie se résume à ça :
des déceptions, des peines, des réceptions, des redditions,
des coups bas portés, phases de récession, inflation notoire,
amitiés coulées comme le bord des trottoirs.
Reflux de puanteur, l'amour me déclare clochard à vie et pourtant,
sans domicile affectif constant, je me contente de peu
donc fais de mon mieux avec mes sentiments.
Peu de gens peuvent capter ma vie,
capter qu'à chaque minute faut savoir faire face, s'adapter.
En apnée, jamais perdre pieds, toujours aller de l'avant, constamment.
Regarder vers les cieux et rester grand, innocent.
Dans l'arène, triste peine, que la haine dans les plaines bétonneuses parisiennes ;
mes mains semblent dangereuses.
Savonneuse la pente que dessine Dieu pour illustrer les facéties
qu'Il recrée dans sa symphonie au sein de ses récits.
J'explore ma vie, relis les pages, jusqu'ici revit, renaît,
construit, l'impression d'achever l'œuvre d'autres.
Dieu nous regarde et puis nous sourit en vain,
non content d'embrouiller nos destins, par instants.
Refrain
Parce que c'est Toi qui écrit nos destins, c'est ça.
Parce que T'as décidé de ne faire qu'un de nos cas.
Tu veux que les hommes deviennent des gens biens, et T'as le droit.
Mais dans le fond Tu sais qu'on est que humains ?
Et parfois le choix se révèle ardu, marre du despotisme,
du prisme aigu où le Bien, le Mal se perpétuent.
Vécu, le scénario peut changer d'impresario
et faire en sorte qu'un innocent attrape les barreaux, finir au carreau.
Faut corriger les fautes égarées, des frères tarés ont déjà pu devenir éclairés, hein ?
Corrélation entre nos vies et puis tes propres envies,
attends le plus longtemps possible pour clore mon récit.
Dans les sphères où Tu mates nos terres,
Père, vers Toi, tous il faut qu'on transfert, soit plus clair.
Refrain
apporte un dense relent d'excitation pour les nations.
Villes, haine et passion, amour et peines au sein des stations
où seule la raison y voit que nos cœurs brûlent dans nos tentations.
Obsessions, le monde, nos rêves, voix castrées.
Ainsi frustré, au coin d'une pièce je reste prostré.
Avis à tous, ma vie est donnée à vous tous,
à qui voudrait changer le monde ; oui à vous tous.
Dieu écrit des feuilles où sont nos vies,
efface et laisse l'histoire progresser lentement et raye ses essais lents.
Nonchalant, derrière des feuilles de vie,
Il persévère à faire de nos cœurs des zones désertées par l'amour où seuls les pleurs restent,
demeurent, teste, nos vies des testes et pour Lui qu'est-ce que l'être ?
Une feuille peu marquée noircit par des lettres.
Il nous observe, joue avec nous, de vulgaires pantins,
et fait d'ici un monde incertain.
Observe le monde, dis-moi qu'est-ce que tu crois ?
Dieu s'amuse sur ses feuilles avec toi.
Dieu s'amuse sur ses feuilles avec toi.
Dieu s'amuse sur ses feuilles avec...
Refrain :
Parce que la vie est faite ainsi, Tout est écrit, Dieu nous berne
Parce que nos vies sont faites ainsi, Tout est écrit, haut dans le ciel
Ma vie se résume à ça :
des déceptions, des peines, des réceptions, des redditions,
des coups bas portés, phases de récession, inflation notoire,
amitiés coulées comme le bord des trottoirs.
Reflux de puanteur, l'amour me déclare clochard à vie et pourtant,
sans domicile affectif constant, je me contente de peu
donc fais de mon mieux avec mes sentiments.
Peu de gens peuvent capter ma vie,
capter qu'à chaque minute faut savoir faire face, s'adapter.
En apnée, jamais perdre pieds, toujours aller de l'avant, constamment.
Regarder vers les cieux et rester grand, innocent.
Dans l'arène, triste peine, que la haine dans les plaines bétonneuses parisiennes ;
mes mains semblent dangereuses.
Savonneuse la pente que dessine Dieu pour illustrer les facéties
qu'Il recrée dans sa symphonie au sein de ses récits.
J'explore ma vie, relis les pages, jusqu'ici revit, renaît,
construit, l'impression d'achever l'œuvre d'autres.
Dieu nous regarde et puis nous sourit en vain,
non content d'embrouiller nos destins, par instants.
Refrain
Parce que c'est Toi qui écrit nos destins, c'est ça.
Parce que T'as décidé de ne faire qu'un de nos cas.
Tu veux que les hommes deviennent des gens biens, et T'as le droit.
Mais dans le fond Tu sais qu'on est que humains ?
Et parfois le choix se révèle ardu, marre du despotisme,
du prisme aigu où le Bien, le Mal se perpétuent.
Vécu, le scénario peut changer d'impresario
et faire en sorte qu'un innocent attrape les barreaux, finir au carreau.
Faut corriger les fautes égarées, des frères tarés ont déjà pu devenir éclairés, hein ?
Corrélation entre nos vies et puis tes propres envies,
attends le plus longtemps possible pour clore mon récit.
Dans les sphères où Tu mates nos terres,
Père, vers Toi, tous il faut qu'on transfert, soit plus clair.
Refrain