Refrain
Entends ma voix parmi les ombres... KOHNDO
Que la pierre révèle ses histoires et que la mémoire du béton s'anime
Entends ma voix parmi les ombres... KOHNDO
Que les mortels m'entendent, percent le sens que les cloisons répriment
Ouvre tes yeux et bois ma voix... KOHNDO
L'image heurte les décibels et percent dans le noir de l'abyme
Derrière tes peurs, entends ma voix... KOHNDO
Quand l'avenir danse en équilibre
Destin vers l'horizon, cœur gros, moite
Le temps d'un frisson
Bras dans le plâtre, les pieds dans le vide, le regard puissant
Respire l'adrénaline cœur en rythme
Sentir percer la vie, briser ses limites
A chaque minute, la jeunesse s'ennuie comme immortelle
Et rêve du ciel en équilibre attendant l'envole
Prédilection : les journées fades qui l'égaie
Ces moments bads qui la pompe
Et toutes ces choses qu'elle affronte en masse
Laisse faire, puisqu'elle espère
Chaque minute force l'âme à devenir experte
Egaré sous le toit du monde
S'entasse au mètre carré
Le bruit des voix qui se manifestent en bas,
Nos peurs pensent qu'elle est d***ée
Les passants regardent et chaque minute tarde
Pris dans ses illusions le passé s'extrade
Œil fermé voix couvertes et deuil permis
Chaque mouvement t'offrait de quoi blêmir
Refrain
La jeunesse danse dans le rythme des transes,
Attend sa chance,
Regarde le crépuscule sans que la peur ne s'empare d'elle
Le paysage à portée,
Le présent la harcèle
Les caméras qui pointent, tous ces démons qui parlent d'elle
Ses rêves d'hier, querelles familières,
Tous ces moments que l'on perd et restent hors porté
Derrière,
Le passé s'angoisse, la terreur est au maximum
L'envie de l'arraisonner et changer d'espace
Parmi les badauds, en bas, les manants
Le tas de molécules amassé dans le béton reste permanent
Un crie vient du ciel,
L'issue semble morne et mortelle
Destinée cruelle !
Condamnée semble être,
La jeunesse reste de marbre
Presque au bord du gouffre
Maintient ses aptitudes à rêver plus haut loin des habitudes
Elle bouleverse son père
Le Passé flip errant debout
Le Présent stagne et reste sans dessous
Refrain
Certains cherchent la source quand d'autres perdent la course
Et certains laissent leurs doutes quand l'espoir les emporte
Elle aimerait planter ses racines pour renforcer sa souche
Affronter, penser les blessures que la vie réserve
Indécis son frangin stagne, la jeunesse apprécie
Personne ne lui demandait de naître à cette fille indocile
Personne ne sait ce qu'elle pense,
Tous y jettent leur manque
Tous y perdent leur santé comme on perd son sens,
Loin d'être ignorante, elle cherche à s'enfuire
Changer les choses, partir
Prendre une bouffée d'air en elle, trouver sa cause et respire.
Tête relevée regard au ciel imperturbable,
Chaque seconde rendait les gens coupables,
Le passé parle tournée vers l'horizon et voit son monde puissant
Comme une vallée libérée des tensions
Personne ne peut comprendre
Y'a juste à le vivre
En équilibre sur le toit du monde
Perchée, la jeunesse rit
Entends ma voix parmi les ombres... KOHNDO
Que la pierre révèle ses histoires et que la mémoire du béton s'anime
Entends ma voix parmi les ombres... KOHNDO
Que les mortels m'entendent, percent le sens que les cloisons répriment
Ouvre tes yeux et bois ma voix... KOHNDO
L'image heurte les décibels et percent dans le noir de l'abyme
Derrière tes peurs, entends ma voix... KOHNDO
Quand l'avenir danse en équilibre
Destin vers l'horizon, cœur gros, moite
Le temps d'un frisson
Bras dans le plâtre, les pieds dans le vide, le regard puissant
Respire l'adrénaline cœur en rythme
Sentir percer la vie, briser ses limites
A chaque minute, la jeunesse s'ennuie comme immortelle
Et rêve du ciel en équilibre attendant l'envole
Prédilection : les journées fades qui l'égaie
Ces moments bads qui la pompe
Et toutes ces choses qu'elle affronte en masse
Laisse faire, puisqu'elle espère
Chaque minute force l'âme à devenir experte
Egaré sous le toit du monde
S'entasse au mètre carré
Le bruit des voix qui se manifestent en bas,
Nos peurs pensent qu'elle est d***ée
Les passants regardent et chaque minute tarde
Pris dans ses illusions le passé s'extrade
Œil fermé voix couvertes et deuil permis
Chaque mouvement t'offrait de quoi blêmir
Refrain
La jeunesse danse dans le rythme des transes,
Attend sa chance,
Regarde le crépuscule sans que la peur ne s'empare d'elle
Le paysage à portée,
Le présent la harcèle
Les caméras qui pointent, tous ces démons qui parlent d'elle
Ses rêves d'hier, querelles familières,
Tous ces moments que l'on perd et restent hors porté
Derrière,
Le passé s'angoisse, la terreur est au maximum
L'envie de l'arraisonner et changer d'espace
Parmi les badauds, en bas, les manants
Le tas de molécules amassé dans le béton reste permanent
Un crie vient du ciel,
L'issue semble morne et mortelle
Destinée cruelle !
Condamnée semble être,
La jeunesse reste de marbre
Presque au bord du gouffre
Maintient ses aptitudes à rêver plus haut loin des habitudes
Elle bouleverse son père
Le Passé flip errant debout
Le Présent stagne et reste sans dessous
Refrain
Certains cherchent la source quand d'autres perdent la course
Et certains laissent leurs doutes quand l'espoir les emporte
Elle aimerait planter ses racines pour renforcer sa souche
Affronter, penser les blessures que la vie réserve
Indécis son frangin stagne, la jeunesse apprécie
Personne ne lui demandait de naître à cette fille indocile
Personne ne sait ce qu'elle pense,
Tous y jettent leur manque
Tous y perdent leur santé comme on perd son sens,
Loin d'être ignorante, elle cherche à s'enfuire
Changer les choses, partir
Prendre une bouffée d'air en elle, trouver sa cause et respire.
Tête relevée regard au ciel imperturbable,
Chaque seconde rendait les gens coupables,
Le passé parle tournée vers l'horizon et voit son monde puissant
Comme une vallée libérée des tensions
Personne ne peut comprendre
Y'a juste à le vivre
En équilibre sur le toit du monde
Perchée, la jeunesse rit