Envoie la mélodie,
je plane quand la symphonie
frappe, dans mon cœur agit.
Passe mon temps à penser en musique,
je vis pour la musique,
ressent la vie par la musique,
se manifeste mon esprit quand mon corps devient la musique.
J'crois que ce monde est plein de gimmicks,
plein de cyniques, plein de faux qui nous niquent,
plein de cons qui nous dictent
ce qu'on doit faire ici. Brancher mon mic, à bas les masques,
vire les nazes et les 'tasses avant d'être plongé dans la masse française.
Ressent les choses mauvaises,
ça explose et le monde devient une fosse commune aux mêmes choses.
Je veux pas me flinguer, je reste toujours aux aguets,
je laisse parler les dingues et parfois je me sens divaguer.
Y'a que la mort dans ce monde, ça sonne faux,
et les fauves - souvent des lâches - perturbent le tempo.
Si aujourd'hui le monde va nulle part c'est que le feeling de la vie se barre.
Refrain :
Plane, parce que le monde est comme une symphonie,
ne tient qu'à toi d'en faire une mélo bourrée d'harmonie.
Et si personne ne tourne au même pas,
dis-toi que tous on attends ça parler d'une même voix.
Plane, parce que le monde est comme une symphonie,
ne tient qu'à toi d'en faire une mélodie.
Plane, et si personne ne tourne au même pas,
dis-toi que tous on attends ça parler d'une voix.
Anti Pop comme le Consortium,
quand tu te contorsionne c'est que le beat est bon
et le son fort sonne, basse.
Quand ça se passe c'est que le son fonctionne,
je recrée parmi les hommes le fait que je soit comme personne, normal.
Chargé de soul est mon corps et mon âme,
j'ai au cœur de la flamme encore et vois l'art comme un gospel.
Les tablatures de nos vies sont pleines de ratures,
et chaque fausse note de l'homme nous montre sa propre nature.
Les mecs se calibrent et dans leurs têtes ne sont même pas libres,
ils pensent être forts mais sans le stress ils ne pourraient même pas vivre.
Esclaves d'une mélodie sur fond trash,
où les mecs se font des clashs pour le s**e opposé, se filent la nausée.
Blasé par l'énervement,
je remet mon casque et ressent méchamment l'envie de changer de temps, vite.
Personne ne marche suivant le même pas,
et dans l'orchestre tout le monde me suit pas.
Refrain
Ma dernière vision sera un chauve armé d'un gun,
si le Diable a une gueule coupable, certains ont la même sans blague.
Le phénomène s'étend et les mêmes dirigent le monde ;
quand certains perdent des gens, d'autres à peine ressortent les bombes.
Blasphème, ça c'est ton problème, mais si je m'y risque,
un jour le temps viendra me briser comme un disque.
Sache que nos vies sont comme des mélodies que l'on compose,
chacun dispose d'une partition de notes blanches et blacks.
Du blanc à l'ébène, y'a que le rouge du sang dans nos veines,
et si y'a le bordel c'est parce qu'on joue tout seul, men.
Y'a rien de tel que l'harmonie dans une symphonie,
chacun crie, fait tout pour que sa vie plane au dessus des autres.
Les rares fois où je vois les anges, je suis à l'affût.
Prends le temps de me suivre, capter que nous sommes ici des instruments.
Je me sens comme un survivant rythmé par le biais du temps.
Refrain
je plane quand la symphonie
frappe, dans mon cœur agit.
Passe mon temps à penser en musique,
je vis pour la musique,
ressent la vie par la musique,
se manifeste mon esprit quand mon corps devient la musique.
J'crois que ce monde est plein de gimmicks,
plein de cyniques, plein de faux qui nous niquent,
plein de cons qui nous dictent
ce qu'on doit faire ici. Brancher mon mic, à bas les masques,
vire les nazes et les 'tasses avant d'être plongé dans la masse française.
Ressent les choses mauvaises,
ça explose et le monde devient une fosse commune aux mêmes choses.
Je veux pas me flinguer, je reste toujours aux aguets,
je laisse parler les dingues et parfois je me sens divaguer.
Y'a que la mort dans ce monde, ça sonne faux,
et les fauves - souvent des lâches - perturbent le tempo.
Si aujourd'hui le monde va nulle part c'est que le feeling de la vie se barre.
Refrain :
Plane, parce que le monde est comme une symphonie,
ne tient qu'à toi d'en faire une mélo bourrée d'harmonie.
Et si personne ne tourne au même pas,
dis-toi que tous on attends ça parler d'une même voix.
Plane, parce que le monde est comme une symphonie,
ne tient qu'à toi d'en faire une mélodie.
Plane, et si personne ne tourne au même pas,
dis-toi que tous on attends ça parler d'une voix.
Anti Pop comme le Consortium,
quand tu te contorsionne c'est que le beat est bon
et le son fort sonne, basse.
Quand ça se passe c'est que le son fonctionne,
je recrée parmi les hommes le fait que je soit comme personne, normal.
Chargé de soul est mon corps et mon âme,
j'ai au cœur de la flamme encore et vois l'art comme un gospel.
Les tablatures de nos vies sont pleines de ratures,
et chaque fausse note de l'homme nous montre sa propre nature.
Les mecs se calibrent et dans leurs têtes ne sont même pas libres,
ils pensent être forts mais sans le stress ils ne pourraient même pas vivre.
Esclaves d'une mélodie sur fond trash,
où les mecs se font des clashs pour le s**e opposé, se filent la nausée.
Blasé par l'énervement,
je remet mon casque et ressent méchamment l'envie de changer de temps, vite.
Personne ne marche suivant le même pas,
et dans l'orchestre tout le monde me suit pas.
Refrain
Ma dernière vision sera un chauve armé d'un gun,
si le Diable a une gueule coupable, certains ont la même sans blague.
Le phénomène s'étend et les mêmes dirigent le monde ;
quand certains perdent des gens, d'autres à peine ressortent les bombes.
Blasphème, ça c'est ton problème, mais si je m'y risque,
un jour le temps viendra me briser comme un disque.
Sache que nos vies sont comme des mélodies que l'on compose,
chacun dispose d'une partition de notes blanches et blacks.
Du blanc à l'ébène, y'a que le rouge du sang dans nos veines,
et si y'a le bordel c'est parce qu'on joue tout seul, men.
Y'a rien de tel que l'harmonie dans une symphonie,
chacun crie, fait tout pour que sa vie plane au dessus des autres.
Les rares fois où je vois les anges, je suis à l'affût.
Prends le temps de me suivre, capter que nous sommes ici des instruments.
Je me sens comme un survivant rythmé par le biais du temps.
Refrain