S'engluer dans les sphères de ce stupre qui m'attire
Renier les premières pour le meilleur et pour le pire
Sombrer dans son ego pour en fait oublier
Toi qui retire le drap sur ta féminité
Aux rires que tu lançais, aux pleurs que tu cachais
Au parfum qui volait ma mie restons-en là
A moi qui m'enflammais, à toi qui encaissait
A nous qui nous aimions, ma mie restons en nous
C'est une chanson à vendre ou bien à confesser
C'est une chanson pas tendre sur c'qui peut se passer
Comme déchirure au drame, comme moment délectable
Comme un tas de linge sale à se débarasser
Aux rires que tu lançais, aux pleurs que tu cachais
Au parfum qui volait ma mie restons-en là
A moi qui m'enflammais, à toi qui encaissais
A nous qui nous aimions, ma mie restons en nous
Et pourtant je croyais encore, un peu trop fort
jusqu'à tant que ça revienne
Et pourtant, je penserai encore à y perdre le nord, en vue que tout cela tienne
Je retirerai mes tords et puis tant pis pour moi
Je sourirai encore, bien que tu ne sois plus là
Broder de toutes les manières, en vue de recoller
Nos deux planètes entières retombées en moitié
Aux rires que tu lançais, aux pleurs que tu cachais
Au parfum qui volait, ma mie restons-en là
A moi qui m'enflammait, à toi qui encaissait
A nous qui nous aimions, ma mie restons en nous
Et pourtant, je croirais encore, un peu trop fort
jusqu'à tant que ça revienne
Et pourtant, je penserai encore à y perdre le nord,
en vue que tout cela tienne
C'est l'amour de ma vie mais ma vie n'en veut pas
C'est le rêve de mes nuits mais je ne le vois pas
C'est l'amour de ma vie mais ma vie n'en veut pas
C'est le rêve de mes nuits mais je ne le vois pas
Renier les premières pour le meilleur et pour le pire
Sombrer dans son ego pour en fait oublier
Toi qui retire le drap sur ta féminité
Aux rires que tu lançais, aux pleurs que tu cachais
Au parfum qui volait ma mie restons-en là
A moi qui m'enflammais, à toi qui encaissait
A nous qui nous aimions, ma mie restons en nous
C'est une chanson à vendre ou bien à confesser
C'est une chanson pas tendre sur c'qui peut se passer
Comme déchirure au drame, comme moment délectable
Comme un tas de linge sale à se débarasser
Aux rires que tu lançais, aux pleurs que tu cachais
Au parfum qui volait ma mie restons-en là
A moi qui m'enflammais, à toi qui encaissais
A nous qui nous aimions, ma mie restons en nous
Et pourtant je croyais encore, un peu trop fort
jusqu'à tant que ça revienne
Et pourtant, je penserai encore à y perdre le nord, en vue que tout cela tienne
Je retirerai mes tords et puis tant pis pour moi
Je sourirai encore, bien que tu ne sois plus là
Broder de toutes les manières, en vue de recoller
Nos deux planètes entières retombées en moitié
Aux rires que tu lançais, aux pleurs que tu cachais
Au parfum qui volait, ma mie restons-en là
A moi qui m'enflammait, à toi qui encaissait
A nous qui nous aimions, ma mie restons en nous
Et pourtant, je croirais encore, un peu trop fort
jusqu'à tant que ça revienne
Et pourtant, je penserai encore à y perdre le nord,
en vue que tout cela tienne
C'est l'amour de ma vie mais ma vie n'en veut pas
C'est le rêve de mes nuits mais je ne le vois pas
C'est l'amour de ma vie mais ma vie n'en veut pas
C'est le rêve de mes nuits mais je ne le vois pas