Dans tous les regards et dans tous les stress, je te revoie à mes côtés.
Tu connais mes erreurs ma honte et ma détresse ; ma désertion me hante.
Je me rappelle nos virées, je revois toujours son sourire.
Mais je repense à mes erreurs.
Pourquoi faut-il que tu nous aies quitté ?
Et toujours au dessus de moi je vois le ciel qui s'obscurcit.
Pour toujours dans mes émois, une gangrène qui s'installe ...
Si un jour toutes les contraintes pouvaient s'effacer,
on pourrai peut-être vivre.
Si un jour on voyait les salauds
s'étouffer dans l'énormité de leurs actes.
Je voudrais crier ma rancœur pour les oublis, les regrets :
tout ce qu'on aurait pu faire.
Il faut connaître le malheur pour pouvoir un jour effleurer le bonheur.
Et pourtant, j'en ai bien peur on oubliera de te dire
Question de confiance,
Je ne veux pas que tu crois que la vie s'arrête à vingt ans.
Question d'habitude,
Je ne veux pas que tu vois qu'on oublies si souvent les autres.
Souviens-toi des jours tristes
où tu voyais le soleil s'imprégner de nos larmes.
Souviens-toi de nos pleurs,
j'crois bien qu't'as dû te marrer en nous voyant tous.
Question de conscience ...
Partir sans jamais revenir, rester à tout jamais absent.
Revivre des cendres d'un feu, se réchauffer de souvenirs.
Tu connais mes erreurs ma honte et ma détresse ; ma désertion me hante.
Je me rappelle nos virées, je revois toujours son sourire.
Mais je repense à mes erreurs.
Pourquoi faut-il que tu nous aies quitté ?
Et toujours au dessus de moi je vois le ciel qui s'obscurcit.
Pour toujours dans mes émois, une gangrène qui s'installe ...
Si un jour toutes les contraintes pouvaient s'effacer,
on pourrai peut-être vivre.
Si un jour on voyait les salauds
s'étouffer dans l'énormité de leurs actes.
Je voudrais crier ma rancœur pour les oublis, les regrets :
tout ce qu'on aurait pu faire.
Il faut connaître le malheur pour pouvoir un jour effleurer le bonheur.
Et pourtant, j'en ai bien peur on oubliera de te dire
Question de confiance,
Je ne veux pas que tu crois que la vie s'arrête à vingt ans.
Question d'habitude,
Je ne veux pas que tu vois qu'on oublies si souvent les autres.
Souviens-toi des jours tristes
où tu voyais le soleil s'imprégner de nos larmes.
Souviens-toi de nos pleurs,
j'crois bien qu't'as dû te marrer en nous voyant tous.
Question de conscience ...
Partir sans jamais revenir, rester à tout jamais absent.
Revivre des cendres d'un feu, se réchauffer de souvenirs.