Autre regard sur la sénilité :
juste les yeux pour savoir et pleurer.
Voir que la vie ne nous fait plus crédit,
voir que les hommes commencent à ressortir leurs fusils.
C'est la magot qui toujours les attire.
Ca tu le sais depuis déjà longtemps.
Même pas f***us de t'offrir un sourire.
Ils sonnent faux, finalement tu les sens tous clients.
On devient tous fatigués, étouffés par les années.
Simplement bien écœurés ; envie de les voir griller
sur l'autel de ma rage : ma liberté.
Mourir sereinement et calme : ma liberté.
L'autel de ma rage : ma liberté.
Mourir sereinement et calme : ma liberté retrouvée.
Autre regard sur la postérité,
peu de respect : à vous de passer en scène.
Je vous regarde lâchés vous étriper,
fallait pas croire que c'était moi qui rendais obscène.
C'est le malheur de tout ceux qui nous succèdent :
indifférents, ils se croient tous à l'abri.
Mais la roue tourne et parfois nous précède.
Y'a pas de raison, finalement on est tous en sursis.
juste les yeux pour savoir et pleurer.
Voir que la vie ne nous fait plus crédit,
voir que les hommes commencent à ressortir leurs fusils.
C'est la magot qui toujours les attire.
Ca tu le sais depuis déjà longtemps.
Même pas f***us de t'offrir un sourire.
Ils sonnent faux, finalement tu les sens tous clients.
On devient tous fatigués, étouffés par les années.
Simplement bien écœurés ; envie de les voir griller
sur l'autel de ma rage : ma liberté.
Mourir sereinement et calme : ma liberté.
L'autel de ma rage : ma liberté.
Mourir sereinement et calme : ma liberté retrouvée.
Autre regard sur la postérité,
peu de respect : à vous de passer en scène.
Je vous regarde lâchés vous étriper,
fallait pas croire que c'était moi qui rendais obscène.
C'est le malheur de tout ceux qui nous succèdent :
indifférents, ils se croient tous à l'abri.
Mais la roue tourne et parfois nous précède.
Y'a pas de raison, finalement on est tous en sursis.