L'obscurité c'est faite au-dessus de nos cœurs
pour éblouir tous nos espoirs.
Et dans les rizières, tous les gardes se morfondent
dans les méandres de leurs doutes.
Au fil du temps qui passe, notre seule voie résidait dans la fuite.
Au fil du vent qui glace, tous les cordages de nos vies s'enfuient.
Mais soudain la lumière est venue nous surprendre
dans la caresse d'un rasoir.
Un océan dont la rougeur n'a d'égale que la férocité des hommes.
Au fil du temps qui passe, dans le souvenir d'une autre miséricorde.
Au fil du temps qui glace, vous périrez noyés dans le sang de vos crimes.
J'ai souvent rêvé d'un autre rivage,
inaccessible envie de me retrouver dans les cités interdites.
Où la bêtise et la connerie n'ont plus droit de cité.
Tant d'épisodes douloureux d'indifférence et d'impuissance.
A tous ces fanatismes, dirigismes et autres pouvoirs politiques.
Je crois bien qu'il faudra changer de planète si un jour
on veut les retrouver. Ailleurs !!!
Au fil du temps qui passe,
construisons nos arches puisque tout se saborde.
Au fil du vent qui glace,
méprisons la terre pour les cités du rêve.
J'ai souvent pleuré des larmes de rage,
gardez vos hommes, moi je repars heureux
dans les cités interdites ...
Où la bêtise et la connerie n'ont plus droit de cité.
Tant d'épisodes douloureux d'indifférence et d'impuissance.
A tous les fanatismes, dirigismes et autres pouvoirs politiques.
Je crois bien que je vais changer de planète :
Bonjour chez vous et rendez-vous en enfer.
pour éblouir tous nos espoirs.
Et dans les rizières, tous les gardes se morfondent
dans les méandres de leurs doutes.
Au fil du temps qui passe, notre seule voie résidait dans la fuite.
Au fil du vent qui glace, tous les cordages de nos vies s'enfuient.
Mais soudain la lumière est venue nous surprendre
dans la caresse d'un rasoir.
Un océan dont la rougeur n'a d'égale que la férocité des hommes.
Au fil du temps qui passe, dans le souvenir d'une autre miséricorde.
Au fil du temps qui glace, vous périrez noyés dans le sang de vos crimes.
J'ai souvent rêvé d'un autre rivage,
inaccessible envie de me retrouver dans les cités interdites.
Où la bêtise et la connerie n'ont plus droit de cité.
Tant d'épisodes douloureux d'indifférence et d'impuissance.
A tous ces fanatismes, dirigismes et autres pouvoirs politiques.
Je crois bien qu'il faudra changer de planète si un jour
on veut les retrouver. Ailleurs !!!
Au fil du temps qui passe,
construisons nos arches puisque tout se saborde.
Au fil du vent qui glace,
méprisons la terre pour les cités du rêve.
J'ai souvent pleuré des larmes de rage,
gardez vos hommes, moi je repars heureux
dans les cités interdites ...
Où la bêtise et la connerie n'ont plus droit de cité.
Tant d'épisodes douloureux d'indifférence et d'impuissance.
A tous les fanatismes, dirigismes et autres pouvoirs politiques.
Je crois bien que je vais changer de planète :
Bonjour chez vous et rendez-vous en enfer.